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Tout pour l'apiculture
Lettre d'information n° 53
Février 2018
PROMOTIONS DE SAISON
Valables du 1er au 28 février
Dans la limite des stocks disponibles.
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NOUVEAUTES
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Blouson aéré avec voile anglais amovible
Taille M
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Blouson aéré avec voile rond amovible Taille L
71,50 € TTC
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évolutive pour ruche 10 cadres
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Cire alvéole de mâle
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API NEWS
LES TRAVAUX DU MOIS
Février est un mois particulièrement critique, notamment pour les colonies les plus faibles, qui arrivent au bout de leurs réserves.

Dans la colonie, la grappe se disloque et les abeilles effectuent un vol de propreté
Elles consomment davantage leurs réserves de pollen et miel. Et à nouveau de la gelée royale que les jeunes abeilles commencent à produire.

Selon les espèces et les régions, le noisetier fleurit de janvier à mars. Sa floraison précoce en fait une importante source de pollen en ce milieu d’hiver. Il est aussi à l’origine du miellat après l’émergence des feuilles. Le saule marsault a également un fort intérêt apicole pour son pollen. Enfin, le tussilage en plaine et éventuellement l’aubépine de virginie ou l’aulne blanc.

Au rucher :
- Poursuivre le nourrissement au candi
- Surveiller le frelon asiatique : commencer le piégeage des fondatrices
- Surveiller les colonies faibles
- Déplacer les ruches si besoin (dès que la température oscille autour des 10°)
- Désinfecter corps et hausses avec la flamme d’un chalumeau, gratter les sur-épaisseurs
- Nettoyer le matériel (brosse, matériel plastique, vêtements) : trempage dans de l’eau de javel diluée pendant 30 min


En savoir plus en lisant "L'apiculture mois par mois" de Riondet
REVUE DE PRESSE...
PALMARÈS DU CONCOURS NATIONAL DES MIELS
L’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF), en lien avec la Commission nationale technico-économique et scientifique apicole (CNTESA), ont organisé ce 25 janvier, le 1er Concours des Miels de France.

Plus de cent jurés dont plusieurs grands chefs étoilés comme Guy Legay, Michel Grosbon, Arnaud Daguin , des meilleurs ouvriers de France en pâtisserie, des apiculteurs expérimentés ou des personnalités comme Élie Semoun ont eu le plaisir de pouvoir découvrir et déguster des miels variés et de très grande valeur. C’est Madame Dominique Loiseau, PDG de Bernard Loiseau SA qui en qualité de Présidente du Jury a dévoilé les miels primés de ce 1er Concours des Miels de France.

140 miels concouraient dans 20 catégories différentes selon leurs origines florales.
Cette 1ère Edition a connu un véritable succès tant par la présence de nombreux apiculteurs français qui présentaient leur production 2017 que par la grande diversité des miels dégustés.

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A voir ou à revoir, le reportage du magazine "13h15 Le dimanche" de Laurent Delahousse sur France 2
"Abeilles : to bee or not to be"
Dans le cadre de sa nouvelle série documentaire "Monde cruel", consacrée à la "sixième grande extinction", le magazine "13h15 le dimanche" (Facebook, Twitter, #13h15) raconte cette semaine l’histoire d’une espèce en voie de disparition : les abeilles. Leur déclin, commencé dans les années 1990, est mondial. Ses causes : parasites, pesticides, moindre diversité des fleurs, etc. En France, la mortalité des colonies d’abeilles a atteint 30% en quinze ans.

A la rencontre de deux passionnés qui tentent de les préserver : Frank, un apiculteur vendéen, se bat depuis vingt ans pour faire interdire les insecticides tueurs d’abeilles ; Roch, un apithérapeute, parcourt le monde à la recherche de produits de la ruche pouvant être utiles pour la santé.

Un monde sans abeilles serait-il viable ?
Emmanuelle Chartoire, David Geoffrion et Fanny Martino sont notamment allés jusqu’au Mexique, et à Cuba, un des seuls endroits du monde où les abeilles sont préservées. To bee or not to be… un titre en forme de jeu de mots (bee signifie abeille en anglais), mais une question sérieuse : la vie serait-elle possible dans un monde sans abeilles ?

Frank et Roch se battent pour sauver ces insectes, persuadés qu’à terme, c’est l’Homme qui pâtirait de leur disparition. Ces infatigables travailleuses fabriquent en effet, non seulement le miel, mais aussi d’autres substances très utiles à l'espèce humaine…

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Le parlement européen veut voler au secours des abeilles

Lesechos.fr
23/01/18
Les eurodéputés de la commission agriculture veulent une hausse de 50 % des aides aux apiculteurs dans le futur budget de la PAC.
C'est une ressource agricole qu'il serait, selon elle, suicidaire de négliger pour l'Europe : dans un rapport d'initiative adopté mardi à la quasi-unanimité, la commission agriculture du Parlement européen appelle à un vaste plan en faveur de la protection des abeilles. « Environ 84 % des espèces végétales et 76 % de la production alimentaire en Europe dépendent de la pollinisation », pointe l'auteur du rapport, l'eurodéputé Hongrois Norbert Erdos (PPE, droite).

Les pesticides dans le viseur
Le rapport souligne les « menaces croissantes » sur les abeilles, dont les colonies reculent de plus en plus dans certains Etats membres. Il préconise l'interdiction de pesticides à la dangerosité établie pour l'espèce. « Y compris les néonicotinoïdes », précise-t-il, sujet récurrent de discorde à Bruxelles. En octobre, les apiculteurs français ont interpellé Nicolas Hulot sur l'impact très négatif sur leurs colonies et leur production de pesticides de plus en plus utilisés par les agriculteurs.

Bras de fer budgétaire
Le volet économique du rapport promet lui aussi des débats compliqués. Les eurodéputés de la commission, dont le rapport sera examiné en séance plénière fin février, demandent une refonte et une hausse de 50 % des fonds de soutien aux apiculteurs dans la politique agricole commune (PAC) pour l'après 2020. Cela en porterait le montant à 47 millions d'euros par an, une somme modique au vu des enjeux, plaident-ils.

Mais les débats autour du budget de la PAC , qui vont démarrer cette année, seront très tendus : différents pays, dont la France, sont partisans de le réduire pour financer les nouvelles priorités de l'UE (défense et sécurité en premier lieu) et absorber le choc du départ du Royaume-Uni, contributeur net au budget européen.

Défenses commerciales
Le dernier volet du rapport est commercial, avec un appel à renforcer la lutte contre les importations croissantes de « faux miel » et à mieux se défendre, dans les accords commerciaux, contre les prix agressifs proposés par les producteurs de pays tiers , responsables selon le rapport d'une spirale déflationniste fragilisant les quelque 600.000 apiculteurs européens, dont le nombre décroît depuis des années. L'UE produit environ 250.000 tonnes de miel par an et en importe 200.000.

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Les délices et les dérives du miel !

France Inter
14/01/18
Produits frelatés, étiquetages confus, mortalité des abeilles…et si le miel artisanal devenait un élixir rare et cher ? Les délices et les dérives du miel : c’est le menu d’On Va Déguster.

Julien Henry
Après un furtif passage en grande distribution et un parcours dans le monde la gastronomie (Truffe, foie gras etc), Julien prend la direction de la Maison du Miel en 2012 et en est depuis cette année l’heureux propriétaire.
Passionné et engagé pour les modes de production respectueux de la terre et du vivant, il source aujourd’hui des récoltes de miel partout dans le monde, sans oublier de mettre en valeur la richesse de notre patrimoine apicole Français.
Multipliant les collaborations avec le Monde la Gastronomie, on peut cette année, en plus des 70 récoltes de miels, retrouver à la Maison du Miel une gamme de produits complémentaires qui fait sens avec ses idées : une gamme de confitures au miel réalisée en partenariat avec Stephan Perrotte (Meilleur confiturier du Monde 2015), une gamme de biscuiterie au miel réalisée par Emmanuel Ryon (champion du monde de Pâtisserie, MOF glacier, co fondateur d’une Glace à Paris ), des pains d’épices et chocolats au miel réalisés par Sébastien Gaudard et une dernière collaboration dont nous sommes très fier : un coffret pour réaliser sois même ses pains d’épices élaboré avec le célèbre chef Corsaire Olivier Roellinger qui livre une création d’épices réalisée pour l’occasion, ainsi que sa recette personnelle.
Julien à également coécrit Les Merveilles du Miel (sorti en Octobre 2017 chez Tana) avec Camille Labro et fait parti des contributeurs du livre On Va déguster la France.

Béatrice Mathieu
Journaliste, essayiste et apicultrice.
Elle est rédactrice en chef adjointe à L'Express où elle dirige le service économie. Elle contribue à la revue Cyclope, spécialisée dans les matières premières.
Le livre : Le miel : enquête sur le nouvel or jaune François Roche, Béatrice Mathieu Paru le 15 juin 2017 Editeur Ed. Nouvelles François Bourin

Nous entretenons un lien particulier avec le miel. Il est paré de toutes les vertus, il contribue à notre santé, il évoque les senteurs d’été, le soleil, les fleurs, les fruits. Nous aimerions qu’il demeure un produit de proximité, loin des lois impérieuses de l’économie, et qu’il reste authentique, naturel, une source de douceur dans un monde en bouleversement. Hélas, il n’en est rien. Le miel est devenu une « commodité », comme disent les économistes, c’est-à-dire une matière première comme une autre. Plus de 50 % du miel importé en Europe est d’origine chinoise. Cette matière n’a souvent qu’un lointain rapport avec ce produit naturel que nous aimons tant, incorporant parfois autant de sucres ajoutés que de miel authentique. Face à la baisse des populations d’abeilles, la pollinisation de certains arbres fruitiers prend des allures de procédé industriel, mobilisant en Chine des milliers de travailleurs agricoles. En Californie, qui produit 80 % des amandes vendues dans le monde, on importe des abeilles de la côte Est et même d’Australie pour polliniser les arbres. Ce sont ces nouvelles routes du miel qu’explore ce livre, qui révèle une réalité bien éloignée de l’image que nous avons de ce produit afin que le travail des authentiques apiculteurs soit préservé et valorisé.

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CES FLEURS SCULPTENT LA CHALEUR POUR ENFLAMMER LES ABEILLES

Sciences & vie
29/01/18
Pâquerettes, coquelicots, cistes... certaines fleurs attirent leurs pollinisateurs à l'aide d'un signal resté inaperçu à nos yeux : des motifs de température ! C'est l'étonnante découverte de chercheurs anglais.

Les fleurs nous enchantent par la diversité de leurs formes et de leurs couleurs. Mais nos yeux sont loin d'avoir tout vu. Des botanistes et éthologues anglais viennent de révéler que la floraison se pare aussi d'un jeu troublant de chaud et de froid.

Tantôt sous la forme d'une étoile sur le cœur, ou tel un liseré ourlé en bordure de pétale, ces parures ne se révèlent, hélas, qu'à celles et ceux munis d'une caméra thermique : « Sur les 118 espèces de plantes à fleur que nous avons ainsi thermo-photographiées, plus de la moitié présente des variations structurées de la température avec des différences dépassant les 2°C », explique le biologiste Sean Rands de l'université de Bristol. En moyenne, ces motifs sont de 4 ou 5 °C plus chauds que le reste de la fleur ! Ce qui suffit à faire la différence aux yeux des abeilles - plus exactement aux capteurs thermiques situés dans leurs antennes et dans leurs pattes.

Les bourdons apprennent à associer les motifs au nectar
En reproduisant ces formes sur des fleurs artificielles, les chercheurs ont démontré que les bourdons (appartenant à la famille des abeilles) apprenaient à associer la présence de ces motifs de chaleur à celle du délicieux nectar : « Nous savions déjà que les abeilles étaient sensibles à la température globale de la fleur, mais ces formes thermiques spécifiques s'ajoute bien aux multiples stratégies de séduction des fleurs », souligne Sean Rands. Avis aux curieux : les mécanismes exacts dessinant ces insolites ornements demeurent encore inconnus.

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POUR LES GOURMANDS
Carotte cake au miel et vanille, caramel au beurre salé
Préparation : 30 min
Cuisson : 30 min
Nombre de personnes : 6
Type de plat : Dessert

Ingrédients :
300 g de carottes
3 œufs
75 g de sucre roux
50 g de beurre demi-sel
1 c.s. de miel
2 gousses de vanille Bourbon
95 g de farine
75 g de poudre d'amandes
1 sachet de levure
Pour le caramel au beurre salé:
100 g de sucre semoule
2 c.s. d'eau
40 g de beurre demi-sel
6 c.s. de crème liquide entière
Glace vanille

Préparation
Laver, éplucher les carottes et les râper. Préchauffer le four à 180°C.

Réaliser le caramel au beurre salé en versant dans une casserole le sucre semoule et 2 c.s. d'eau. Faire brunir le sirop puis hors du feu ajouter 40 g de beurre demi-sel et la crème liquide. Donner une ébullition, laisser refroidir et réserver au frais.

Dans une casserole, faire fondre 50 g de beurre demi-sel.

Dans un saladier, battre les œufs avec le sucre roux. Ajouter le beurre fondu tiède, les carottes râpées puis le miel ainsi que les grains des gousses de vanille. Incorporer délicatement la farine puis la poudre d'amandes et le sachet de levure. Mélanger délicatement.

Verser la pâte dans des moules en silicone et cuire entre 20 et 25 minutes à 180°C.

Servir tiède avec le caramel au beurre salé refroidi et une boule de glace vanille.
image d'illustration

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