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Tout pour l'apiculture
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Lettre d'information n° 115
Avril 2024
API NEWS
PORTES OUVERTES 2024
[CATALOGUE API DISTRIBUTION 2024/2025]

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LES TRAVAUX DU MOIS
Le début de printemps est un moment charnière dans l’année apicole.

Les abeilles d’hiver auront été progressivement remplacées par celles qui assureront le formidable développement de la colonie puis la récolte et le stock d’hivernage.

La visite de printemps s'effectue fin mars/début avril lorsque la température est supérieure à 15°C. Cela est variable en fonction des températures et du niveau de fleurissement de l’environnement.
Au cours de la visite l'on recherche les points suivants : état sanitaire, provision, présence de la reine, quantité et qualité du couvain, force de la colonie.
Toute colonie dont l'activité sera faible nécessitera une nouvelle visite pour en rechercher la cause.
Si elle est malade, l'isoler aussitôt et la traiter. Si l'essaim est faible, le sacrifier et désinfecter la ruche puis repeupler aussitôt. Les colonies destinées à l'élevage de reines doivent être surveillées de près et nourries abondamment.

Vous effectuerez une seconde visite au cours du mois pour remplacer au moins deux cadres sur dix (si possible trois) et agrandir le nid à couvain en périphérie.
Les cadres les plus vieux se trouvent de l’extérieur vers le centre et les plus récents au centre.
Pour ajouter un cadre avec de la cire gaufrée, enlevez un cadre du bord extérieur puis faites glisser les autres cadres vers le bord extérieur. Ensuite, insérez un cadre ciré contre le couvain.

Cette visite doit être effectuée suffisamment tard pour que les températures soit déjà clémentes la nuit et suffisamment tôt pour que les ruches ne soit pas trop développées.
Une intervention au rucher se fait par temps ensoleillé, une température supérieure à 15°C, pas de vent et de 14H00 à 16H00 l’après-midi.

Avril est aussi le début de l’essaimage. Chaque jour de chaleur, entre midi et 14 h, surveillez l’animation devant vos ruches. Les essaims sortent toujours en milieu de journée. S’il y a plusieurs jours de pluie et de froid, il est fréquent de voir les essaims sortir le premier jour ensoleillé qui suit.
Eventuellement, placez dans votre rucher une ruche ou ruchette piège. Pour cela, choisissez une vieille ruche ou une ruche neuve passée au chalumeau. Vous pouvez y ajouter de la pommade attire-essaim. Mettez dans la ruche quelques vieux cadres de cire noire sur les côtés et quelques cadres neufs au milieu. Orientez la ruche vers l’est.

C'est également le moment de nourrir les ruches pour stimuler l'activité des colonies et la ponte de la reine. L'élevage de plus en plus intense va nécessiter d'abondantes provisions, et, si le mauvais temps retient les butineuses à la ruche, les nombreuses larves à nourrir auront vite fait d'épuiser les provisions restantes, mettant ainsi en péril la colonie.

Les entrées de ruche métalliques ou plastiques seront enlevées pour faciliter les allées et venues des butineuses.

Les abeilles ont besoin d'eau, s'il n'y en a pas à proximité de votre rucher, veillez à ce qu’un abreuvoir soit toujours rempli.

Comme souvent en apiculture, la météo joue un grand rôle dans le développement printanier. Si elle est favorable, visitez vos colonies chaque semaine pour déterminer le moment favorable à la pose de la hausse. Dans certaines régions, on commence à mettre les hausses aux derniers jours du mois d'avril.
Lorsque tous les cadres sont bâtis, il est temps de poser la hausse en plaçant une grille à reine entre le corps et la hausse.
Si cela est fait trop tard, le manque de place peut déclencher un essaimage. Mais attention de ne pas le faire trop tôt : si le froid revient, l’agrandissement du volume à chauffer freinera la colonie dans son développement.

© EXTRAIT DE "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
NOUVEAUTES
ATELIER VISITE DE PRINTEMPS
6 AVRIL 2024
ATELIER VISITE DE PRINTEMPS
13 AVRIL 2024
ATELIER ELEVAGE DE REINES
27 AVRIL 2024
SUPPORT RÉGLABLE TOUT-TERRAIN POUR RUCHE
69 €
69 €
69 €
95.90 €

ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
4 MAI 2024
ATELIER ELEVAGE DE REINES
25 MAI 2024
ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
8 JUIN 2024
ATELIER ELEVAGE DE REINES
22 JUIN 2024
69 €
69 €
69 €
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PROMOTIONS DE SAISON
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12.15 €
8.16 €
7.44 €

INFOS SECTEUR ET VU DANS LES MÉDIAS
"Ils risquent de disparaître", les apiculteurs, ces "oubliés" de la crise des agriculteurs en colère

France 3 Régions
07.03.2024

Les apiculteurs français alertent depuis plusieurs mois sur la situation de la filière miel. Ils pointent notamment la concurrence à bas prix des produits venus de l'étranger.

On ne les a quasiment pas entendus. Alors que la crise des agriculteurs en colère fait la Une des journaux français depuis le mois de janvier 2024, les apiculteurs ont bien du mal à exister médiatiquement. "On est le parent pauvre de l'agriculture. À part peut-être le syndicat de la Confédération paysanne, personne ne parle de nous", regrette Patrick Chaillou, apiculteur et vice-président du syndicat des apiculteurs du Loir-et-Cher.

Pourtant, selon plusieurs syndicats de la filière, la situation est alarmante depuis plusieurs mois. Les producteurs français peinent à écouler leur stock. "Je connais un producteur qui a 30 000 tonnes de miel qui sont stockées depuis deux ans et il n'arrive pas à les vendre, raconte-t-il, il va falloir que la situation se débloque, sinon certains producteurs risquent de disparaître".

Le 28 février, le gouvernement a annoncé un plan d'urgence pour la filière et a débloqué 5 millions d’euros pour venir en aide. Une décision très insuffisante pour les syndicats des apiculteurs.

Effondrement des ventes
Cette situation est le résultat d'un effondrement des ventes en particulier sur le marché au gros : "Depuis le mois d'avril 2023, on a vu un truc bizarre. Les ventes ont diminué entre -10 % et -20 %. Et c'est encore pire sur le bio où on observe des pertes jusqu'à -50 %", détaille Florent Vacher, apiculteur "depuis quatre générations" dans le Loiret et à la tête des Apiculteurs associés, le n° 2 du conditionnement de la filière miel en France.

Alors, à qui la faute ? Pour Patrick Chaillou, c'est avant tout la concurrence européenne à bas coût et l'appétit des conditionneurs pour acheter du miel moins cher venu l'étranger qui fragilise la filière. "C'est une histoire de gros sous. Certains achètent du miel d'Ukraine à deux euros le kilo", dénonce le syndicaliste qui rappelle que les normes sont plus souples dans certains pays étrangers : "Quand on voit que l'Espagne peut acheter du glucose de Chine, puis le mélanger avec un peu de miel espagnol pour ensuite le vendre sous l'étiquette "miel d'Espagne", il y a un problème."

En revanche, Florent Vacher y voit plutôt une explication de court terme : "Le prix du stockage a augmenté de 6 à 7 %. Donc, nous avons acheté moins de stock d'un coup, car il coûtait plus cher. Mais il va y avoir un phénomène de rattrapage dans les prochains mois", avance-t-il, estimant que la situation n'est peut-être "pas aussi alarmante que ce que l'on entend".

"Information toxique"
Autre explication avancée par le conditionneur, "l'information toxique" autour du miel qui aurait fait fuir les consommateurs. Il pointe un rapport de l'Union européenne publié en mars 2023, un mois avant l'effondrement des ventes en France.

Ce rapport indique que 46 % des miels importés en Europe sont suspectés d'être frelaté et donc frauduleux. "Ce qu'entend le consommateur, c'est "un miel sur deux est daubé". Mais la suspicion, ça ne veut rien dire. Nous avons besoin de laboratoires indépendants qui contrôlent les produits pour nous dire si c'est noir ou blanc. Si le produit est frauduleux, alors on le retire ! Et il est urgent d'avoir une harmonisation des règles européennes".

Sur ce point, Patrick Chailloux, l'apiculteur du Loir-et-Cher est d'accord : "Il serait effectivement temps que les choses avancent, car cela fait longtemps que ce n'est pas arriver", ajoute-t-il sans se faire d'illusions : "Certains pays qui exportent du miel chez nous font du commerce avec la France sur plein d'autres produits, je doute qu'on prenne le risque de se fâcher avec eux".

Ramener le consommateur à la maison
Les deux hommes s'accordent également sur la nécessité de mettre en avant les produits français. "Le consommateur, il est aussi acteur. S'il achète Français, alors la grande distribution inondera les rayons de produits français", argue-t-il. En suivant cette logique, les conditionneurs pourraient ainsi acheter plus de miel aux apiculteurs français. "C'est évidemment une bonne chose de mettre l'accent sur les produits qui sont fabriqués chez nous. La situation est difficile, mais on sait qu'il y a des solutions", abonde Patrick Chailloux.

Mais pour les mettre en œuvre, les deux hommes en appel à l'État : "On fait des réunions, des groupes de travail et des machins, mais ça n'avance pas", dénonce Florent Vacher. "On a le sentiment qu'il y a quand même une prise de conscience", tempère le syndicaliste.

Pour autant, il n'est pas très optimiste quant à l'avenir de la filière : "On risque d'avoir des problèmes de production dans les prochaines années avec le recul sur les produits phytosanitaires. Les pollinisateurs sont en train de disparaître, c'est très inquiétant".

Et l'annonce de la suspension du plan "Échophyto" par le gouvernement pour répondre à la crise des agriculteurs ne risque de ne rien arranger au problème. Quand le bonheur des uns fait la crainte des autres.

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Bonne nouvelle: les abeilles sont capables de résister au réchauffement climatique

24H.CA
19 février 2024

Les abeilles parviennent à transporter la même quantité de nectar pendant les vagues de chaleur lorsque le mercure grimpe jusqu'à 40 degrés, en modifiant leur comportement de vol. C'est la conclusion d'une récente étude américaine réalisée sur des abeilles mellifères.

Les abeilles, les bourdons, les papillons et autres pollinisateurs déclinent sous l'effet du dérèglement climatique. Les vagues de chaleur étant de plus en plus fréquentes en raison du changement climatique, il devient donc crucial d'identifier les stratégies que ces insectes déploient pour résister à la hausse des températures, estime une équipe de chercheurs américains de l'université du Wyoming, qui vient de publier une étude dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

Leur recherche a porté sur les abeilles mellifères et sur la manière dont des conditions extrêmement chaudes et sèches peuvent limiter les périodes de butinage. Contre toute attente, les résultats démontrent que les abeilles mellifères sont capables de transporter la même quantité de nectar sans mettre leur vie en danger, sous des températures allant de 25 à 40 degrés Celsius.

Pour aboutir à cette conclusion, les auteurs des travaux ont mesuré la température des muscles alaires (qui permettent de contrôler le mouvement des ailes), le métabolisme et la perte d'eau chez des abeilles transportant du nectar à l'intérieur d'une salle de vol à température contrôlée. Des vidéos accélérées montrant ces abeilles en plein vol ont également été passées au crible, afin d'évaluer les variations des battements de leurs ailes. Les résultats de la recherche suggèrent que les températures des muscles alaires et le métabolisme des abeilles mellifères augmentent significativement lorsqu'elles transportent du nectar à des températures comprises entre 20 et 30 degrés. «Mais à 40 degrés, la température des muscles n'a que très peu changé», note l'étude.

Cette étude montre donc que les abeilles «augmentent l'efficacité de leur vol en diminuant la fréquence de leurs battements d'ailes et en augmentant l'amplitude de leur course pour compenser, réduisant ainsi le besoin de refroidissement par évaporation». Les auteurs de cette recherche tempèrent toutefois ces résultats, estimant que, même en cas de réduction de la production de chaleur métabolique, «la déshydratation limite probablement la recherche de nourriture des abeilles dans des conditions chaudes et sèches».

Aux États-Unis, les récoltes de miel ont sensiblement baissé depuis les années 1990. Selon une étude publiée en octobre 2023, les facteurs les plus susceptibles d'influer sur la production de miel sont l'utilisation des herbicides, la hausse de l'agriculture intensive, et les anomalies météorologiques annuelles liées au dérèglement climatique.

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Les abeilles sont-elles conscientes qu’elles vont mourir quand elles piquent ?

Ouest France
11.03.24

Mais au fait, les abeilles sont-elles conscientes qu’elles vont mourir si elles utilisent leur dard ? C’est « la question pas si bête » à laquelle nous répondons aujourd’hui, dans le rendez-vous podcast de l’édition du soir, avec The Conversation.

Sacrifice volontaire ?
Le petit insecte accomplit un véritable sacrifice pour protéger sa colonie et sa maison. Mais est-il vraiment conscient qu’il va mourir ?

Les scientifiques de The Conversation ont tenté d’y répondre. La question est de savoir si les abeilles sont capables de sentience, soit capables de ressentir les émotions, la douleur, le bien-être et d’éprouver des choses de manière subjectives. Il reste donc encore difficile aujourd’hui de déterminer si les abeilles savent qu’elles vont mourir en piquant un ennemi…


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Les abeilles produisent des nutriments pour leur flore intestinale

Lémanbleutv.ch
16.01.24

Les abeilles produisent des nutriments pour leur flore intestinale. Selon une étude lausannoise, les insectes fabriquent eux-mêmes les ingrédients nécessaires à une certaine bactérie intestinale lorsque ceux-ci font défaut dans leur alimentation.

Ce mécanisme nouvellement découvert pourrait jouer un rôle dans la vulnérabilité des abeilles face au changement climatique, aux pesticides ou aux nouveaux agents pathogènes, écrivent l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et l'Université de Lausanne (UNIL) dans un communiqué.

Pour l'étude publiée cette semaine dans la revue Nature Microbiology, les chercheurs ont élevé des abeilles sans bactéries intestinales et les ont nourries exclusivement d'eau sucrée.

En examinant les bactéries présentes dans l'intestin des abeilles, les chercheurs ont découvert, contre toute attente, la bactérie Snodgrassella alvi. Celle-ci ne peut pas métaboliser le sucre pour se développer.

Le fait qu'elle ait colonisé l'intestin de l'abeille même lorsque le sucre était le seul aliment et qu'aucune autre bactérie n'était présente a tout d'abord laissé les chercheurs perplexes. En effet, les bactéries intestinales se nourrissent normalement des substances présentes dans l'alimentation.

En mesurant les produits du métabolisme dans l'intestin de l'abeille, les scientifiques ont constaté que l'abeille produit plusieurs acides, dont l'acide citrique et l'acide malique, qui sont transportés dans l'intestin. Lorsque les bactéries Snodgrassella alvi étaient déjà présentes, les abeilles produisaient moins de ces acides.

Lien avec la vulnérabilité

Grâce à des atomes spécialement marqués, les chercheurs ont pu prouver que les bactéries intestinales étaient effectivement nourries avec ces acides ainsi fabriqués. Selon les chercheurs, la vulnérabilité des abeilles pourrait être liée à ce système complexe du microbiome intestinal.

'Nous savons déjà que le contact avec l'herbicide glyphosate rend les abeilles plus vulnérables aux agents pathogènes et réduit l'abondance de S. alvi dans l'intestin', a déclaré le responsable de l'étude Andrew Quinn, de l'UNIL, cité dans le communiqué. Les auteurs souhaitent donc étudier plus précisément le microbiome intestinal des abeilles dans le cadre d'autres études.

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POUR LES GOURMANDS
Saucisson au chocolat, miel et noisettes
Si le saucisson est un incontournable de nos apéritifs, sa version sucrée pour le goûter ou le quatre-heures demeure souvent méconnue. Pourtant, cette variante gourmande, confectionnée à base de chocolat, de biscuits secs croquants et de noisettes, réserve une expérience gustative tout à fait originale.

Les ingrédients :
200 g de chocolat noir (70 % de cacao)
100 g de beurre
2 cuillères à soupe de miel
250 g de biscuits (type biscuits sablés ou biscuits secs)
100 g de noisettes
Sucre glace (pour l’enrobage)

La préparation :
Étape 1 :
Faites blondir les noisettes dans une poêle à feu moyen pendant quelques minutes. Une fois bien dorées, retirez-les de la poêle et laissez-les refroidir. Ensuite, enveloppez-les dans un torchon propre et frottez pour enlever la peau. Concassez-les grossièrement et mettez-les de côté.

Étape 2 :
Cassez la tablette de chocolat en petits morceaux et coupez le beurre en dés. Faites fondre le tout au bain-marie de préférence (à défaut, au micro-ondes). Chauffez à feu doux, sans faire bouillir l’eau. Dès que le chocolat et le beurre commencent à fondre, remuez régulièrement jusqu’à obtenir une mélange bien lisse et homogène.

Ensuite, incorporez le miel au mélange chocolat-beurre fondu et mélangez bien.

Étape 2 :
Écrasez sommairement les biscuits. Pour ce faire, suivez notre petite astuce : mettez les biscuits dans un sac de congélation et écrasez-les à l’aide d’un rouleau à pâtisserie jusqu’à obtenir des miettes grossières. Réservez-les dans un saladier.

Étape 3 :
Ajoutez les miettes de biscuits et les noisettes concassées dans le mélange chocolat-beurre-miel. Mélangez jusqu’à ce que tous les ingrédients soient bien incorporés.

Étape 4 :
Disposez la préparation sur une feuille de film alimentaire et donnez-lui la forme d’un cylindre. Une fois votre saucisson bien formé, enveloppez-le avec le film alimentaire. Ensuite, roulez-le bien pour compacter la préparation comme il se doit. Pensez à bien fermer les extrémités.

Mettez-le au réfrigérateur pendant au moins 2 heures afin qu’il durcisse. Pour un meilleur maintien, vous pouvez l’envelopper de plusieurs couches de film alimentaire.

Vous pouvez également placer votre saucisson au congélateur pour le déguster plus rapidement.

Étape 5 :
Une fois que le saucisson a durci, sortez-le du réfrigérateur et retirez le film alimentaire. Saupoudrez généreusement de sucre glace tout autour du saucisson pour lui donner l’aspect d’un vrai saucisson, et ainsi parfaire votre trompe-l’oeil.

Étape § :
Coupez le saucisson en tranches d’environ 1 à 2 centimètres d’épaisseur et disposez-les élégamment dans une assiette. Servez les tranches de saucisson au chocolat, miel et noisettes à température ambiante.

© LE CHASSEUR FRANCAIS
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