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Lettre d'information n° 114
Mars 2024
API NEWS
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LES TRAVAUX DU MOIS
Dans la ruche...

Attention aux quelques gelées qui peuvent arriver en mars. La pluie est également souvent au rendez-vous.
Les abeilles rentrent désormais avec du pollen sur les pattes. Les principales sources sont les noisetiers, les amandiers, les buis, les saules marsault, les ficaires, les hellébores et les prunelliers.
Dans les régions méditerranéennes, les fruitiers commencent leur floraison.

Dans la ruche, la colonie se développe rapidement. Vers mi-mars, ils est normal de trouver 3 cadres couverts de couvain.
Elles effectuent également leur vol de propreté.


Au rucher...

- nourrir au sirop pour stimuler la colonie
- installer des abreuvoirs
- changer le fond de ruche
- examiner les déchets sur le fond de ruche
- effectuer la visite de printemps
- compter les abeilles
- caler le nid à couvain
- observer la colonie et le couvain
- équilibrer les colonies

© EXTRAIT DE "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
NOUVEAUTES
ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
23 MARS 2024
ATELIER VISITE DE PRINTEMPS
6 AVRIL 2024
ATELIER VISITE DE PRINTEMPS
13 AVRIL 2024
ATELIER ELEVAGE DE REINES
27 AVRIL 2024
69 €
69 €
69 €
69 €

ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
4 MAI 2024
ATELIER ELEVAGE DE REINES
25 MAI 2024
ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
8 JUIN 2024
ATELIER ELEVAGE DE REINES
22 JUIN 2024
69 €
69 €
69 €
69 €

ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
29 JUIN 2024
ATELIER PREPARATION A L'HIVERNAGE
14 SEPTEMBRE 2024
ATELIER PREPARATION A L'HIVERNAGE
21 SEPTEMBRE 2024
SUPPORT RÉGLABLE TOUT-TERRAIN POUR RUCHE
69 €
69 €
69 €
95.90 €

INFOS SECTEUR ET VU DANS LES MÉDIAS
C'est le bon moment pour piéger les frelons asiatiques : alcool, sucre, couleurs vives, les conseils des spécialistes

France 3 Régions
12.02.2024

La saison des frelons est de retour, et avec elle, ses risques de piqûres et d'incidences directes sur les abeilles. En Aquitaine, les apiculteurs sont les premiers affectés par le retour de ces insectes, classés nuisibles par l'État. Ils exhortent les habitants à positionner des pièges dès le mois de février.

Dès le mois de février, ils prolifèrent et investissent les jardins des habitations après des mois d'hibernation. C'est le moment idéal pour installer des pièges contre les frelons asiatiques et éradiquer les reines, qui sont à l'origine de l'apparition des nids.
"Une reine équivaut à un nid et donc 5 000 frelons, il faut les attraper dès maintenant pour éviter qu'elles continuent à pondre jusqu'à l'été", précise Erick Le Bervet, apiculteur et président de l'Adsa 33, en charge de la préservation des abeilles.

Mettre ses pièges à des endroits stratégiques
Durant l'hiver, les reines ont été fécondées. Lorsque les températures plus douces s'installent, elles butinent de fleurs en fleurs à la recherche de matières sucrées pour faire de nouvelles colonies. À la tête de l'association de la préservation et la sauvegarde des abeilles, Erick Le Bervet intervient régulièrement dans le département pour sensibiliser la population aux frelons asiatiques, et surtout, pour détruire les nids, cachés dans les arbres ou les toitures. Le piégeage doit se faire dès février, jusqu'au début du mois de mai. "Au-delà, on risque d'attraper d'autres insectes à l'intérieur et la reine restera dans son nid, on ne va attraper que des ouvrières et on ne cassera pas son cycle", explique l'apiculteur.

De ceux vendus directement en magasins aux pièges faits maisons, construits dans une bouteille plastique, "il n'y a pas de piège parfait". "Le plus important, c'est le positionnement ou l'appât", indique-t-il. Erick Le Bervet conseille de positionner quatre pièges "dans des couloirs de passage", de chaque côté de son habitation.

Les pièges doivent être colorés et sucrés pour attirer les frelons asiatiques
Pour attirer les reines, les boissons alcoolisées et sucrées comme de la bière, du vin ou de la grenadine, en favorisant les liquides colorés, semblables à l'éclat des fleurs, sont recommandées. "Les reines ont un problème d'odorat à la sortie de l'hiver et vont donc être d'abord attirées par les couleurs vives comme le jaune du pissenlit ou le rouge."
Les pièges doivent ensuite être positionnés à l'extérieur et à "hauteur d'épaule". Rien ne sert de les placer trop haut.

Ne jamais détruire un nid soi-même
La découverte d'un nid proche de son habitation peut parfois amener la population à tenter seule de s'en débarrasser. "L'année dernière, un administré m'a appelé pour me dire qu'il avait tenté de boucher le trou du nid avec un coton, se souvient Erick Le Bervet qui intervient dans tout le département pour la destruction de nids. Résultat, il s'est fait piquer en insérant le coton et s'est retrouvé aux urgences. Certains tentent avec un jet d'eau ou en brûlant le nid, mais le mieux est de faire appel à des professionnels." L'année dernière, entre 4 000 et 5 000 nids ont été détruits en Gironde.

20 % de perte pour les apiculteurs
Dans le Pays-Basque, les apiculteurs commencent aussi à positionner les pièges. Ils sont les premiers à pâtir de l'invasion des frelons asiatiques, devenus en quelques années un véritable destructeur de ruches.

Les reines des frelons asiatiques doivent être piégées avant le mois de mai.

Une étude, publiée en décembre 2023 par le syndicat apicole de la Gironde et le groupement de défense sanitaire des abeilles, révèle une prédation exceptionnelle de la part du frelon asiatique sur les colonies d’abeilles. Ces mêmes apiculteurs dénombrent, rien que sur l’année 2023, pas moins de 1014 colonies mortes à cause du frelon asiatique.

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Plan de réduction des pesticides en pause : "C'est une catastrophe" s'alarme un apiculteur à Courbeveille

France Bleu
13.02.24

La mise en pause du plan Ecophyto provoque le désarroi chez les apiculteurs. Les pesticides sont en grande partie responsables de la disparition des abeilles et des ruches. Cette décision est un retour en arrière catastrophique selon un professionnel du secteur en Mayenne.

"Recul majeur" : la consternation domine parmi les associations et collectifs de défense de l'environnement après l'annonce du gouvernement d'une mise en pause du plan de réduction de l'usage des pesticides, que réclamait une partie du monde agricole. Les apiculteurs font part de leur désarroi, colère et incompréhension.

La 4e mouture du plan, appelée "Ecophyto 2030", était en fin de consultation. Elle devait tracer la voie vers une réduction de moitié de l'utilisation des pesticides d'ici 2030 (par rapport à 2015-2017) et accélérer la recherche d'alternatives, urgentes face aux impacts relevés sur la santé des agriculteurs, la mortalité des abeilles, la pollution des eaux, etc...
Thierry Cocandeau produit du miel à Courbeveille : "C'est une catastrophe. La réintroduction des néonicotinoïdes a rouvert la boite de Pandore et voilà dès qu'il y a un souci agricole, le levier c'est ça. On ne se remet pas en question sur ce modèle. Ce sont nos pollinisateurs qui vont trinquer. J'entends bien que les agriculteurs défendent meurs intérêts mais il va falloir qu'on s'entende sur des modes de production" qui seraient moins nocifs pour les abeilles.
Lundi 12 février, huit ONG environnementales ont quitté une réunion consultative organisée au ministère de l'Agriculture pour présenter les pistes de révision du plan national de réduction des pesticides, "les conditions de travail n'étaient pas réunies pour entamer le dialogue" sur l'avenir du plan Ecophyto, a déclaré Sandrine Bélier, directrice d'Humanité et Biodiversité.

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Crise du miel : "Les apiculteurs français ne peuvent pas rivaliser avec l'étranger"

France Bleu
09.02.24

Les apiculteurs réclament en urgence des aides pour tenir le coup financièrement. Ils exigent aussi une meilleure réglementation pour faire face à la concurrence du miel importé de l'étranger.

Les apiculteurs berrichons ont le bourdon. Toute la profession est en colère face à la concurrence jugée déloyale du miel fabriqué à l'étranger et qui inonde les rayons des supermarchés. Ce vendredi, les syndicats rencontrent les négociations et la grande distribution à Paris. "Nous, on n'arrive pas à vendre notre miel, pas dans des délais corrects ni à des prix corrects. Les miels de l'étranger, d'Asie, d'Ukraine ou d'Amérique du sud arrivent à des coûts en-dessous de nos coûts de production. On ne peut absolument pas rivaliser", déplore Cyrille Bénard, apiculteur à Azay-le-Ferron.
Du miel étranger souvent de mauvaise qualité, dont la provenance n'est pas toujours parfaitement indiquée sur les étiquettes. "Il n'y a pas de transparence. Mais une directive de l'Union européenne va désormais obliger à afficher en toutes lettres le nom du pays où le miel a été fabriqué", se félicite ce membre de la Confédération paysanne de l'Indre. Une information plus accessible mais le problème de différence des prix reste là.
L'urgence est aussi de soutenir financièrement des apiculteurs souvent en difficulté. "Il faut une aide d'urgence pour ceux qui n'ont pas réussi à vendre leur production. Ils peuvent avoir une situation de trésorerie critique très prochainement", conclut Cyrille Bénard.

Jérôme Collin

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Dans l’Amazonie colombienne, le miel est d’or

Courrier International
07.01.24

Dans une région reculée du pays, des scientifiques et des communautés autochtones œuvrent ensemble au développement de l’apiculture, en remplacement de la culture de la coca ou de l’orpaillage. Le photographe suisse Luca Zanetti est allé à leur rencontre.

e département de Guainía est niché dans les confins amazoniens des terres colombiennes. “J’y étais déjà allé, il y a une dizaine d’années, mais personne ne parlait alors d’abeilles, et aucun miel n’était vendu à l’aéroport”, relate Luca Zanetti. Au printemps dernier, le photographe suisse s’est de nouveau rendu sur place, avec la journaliste colombienne Alejandra de Vengoechea, pour raconter comment cette ressource naturelle a pris une nouvelle importance.

Un trio de scientifiques a eu un rôle moteur dans ce développement : le biologiste Fernando Carillo, la chimiste Alexandra Torres et son mari, l’entomologiste Wolfgang Hoffman. Ils ont travaillé, le long de la rivière Inírida, auprès des communautés autochtones qui composent les deux tiers de la population du département – parmi les moins densément peuplés du pays – pour amorcer un abandon du commerce de la feuille de coca ou de l’exploitation de l’or au profit de l’apiculture.

“Fernando Carillo est particulièrement impliqué, car il mène aussi une activité d’écotourisme, mais il y avait très peu de visiteurs auparavant.” Depuis la signature, en 2016, des accords de paix du gouvernement colombien avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) l’influence des guérillas dans la région a baissé (même s’il reste des dissidents des Farc toujours actifs), explique le photographe. De quoi permettre la transition vers une agriculture non liée au trafic de drogue et une ouverture au tourisme. Ce projet a bénéficié d’un financement de la fondation de l’entreprise suisse Ricola.

La série de photos présente ces transformations en jouant sur différentes échelles. “C’est la première fois que j’utilisais un objectif macro. D’ordinaire, je travaille plutôt sur des portraits, ce sont les personnes qui m’intéressent”, confie Luca Zanetti. “Mais là, je voulais faire cohabiter cette échelle à la fois avec celle de paysages à couper le souffle et avec celle des abeilles, dont certaines sont absolument minuscules. Je me suis penché de près sur les fleurs.”

Effets positifs indirects
Le miel était bien sûr un produit de consommation local depuis longtemps, “mais les autochtones coupaient l’arbre, récoltaient le miel, et l’essaim allait se reconstituer ailleurs. Désormais, il s’agit d’une forme de domestication, avec des créations de ruches pour plusieurs espèces d’abeilles.”

Une fois le système mis en place avec l’aide des scientifiques, la production a été abondante. “En revanche, ce n’est pas du tout à un niveau industriel, comme on peut le voir en Europe, c’est très artisanal. Et on sent la différence.” Le miel se vend ainsi en petites quantités, pour un prix relativement élevé. Le profil des touristes dans la région reflète d’ailleurs ce marché : il s’agit essentiellement de Colombiens aisés, venus découvrir les régions reculées de leur pays, résume Luca Zanetti, ainsi que d’“amateurs de pêche (qui relâchent leurs prises), ou encore de quelques Européens avec un côté un peu hippie”.

Des effets plus indirects de cette culture du miel sont déjà bien visibles. “Avec l’augmentation des pollinisateurs, les communautés sur place ont constaté très vite un changement : les arbres sont bien plus chargés de fruits qu’avant.”

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POUR LES GOURMANDS
Saumon à la sauce soja et miel : la recette express en seulement 3 étapes
Vous voulez vous faire plaisir avec du saumon ? Voici une recette rapide qui comblera certainement votre envie. On vous détaille la liste des ingrédients et les étapes.

Délicieux et nutritif, le saumon trône dans de nombreuses assiettes. Ce n'est pas pour rien qu'il s'agisse du poisson préféré des Français. Si vous êtes à la recherche d'une recette saine, rapide et délicieuse, on a ce qu'il vous faut : un saumon laqué accompagné de riz et crudités. La créatrice de contenu derrière le compte Instagram @les_recettes_de_margaux a partagé une recette prête en trois étapes. Parfait pour les soirs de flemme !

La liste des ingrédients pour 2 personnes :

2 pavés de saumon
2 gousses d’ail
2 cuillères à soupe de sauce soja
1 cuillère à soupe de Mirin (ou vinaigre de riz)
1 cuillère à soupe de miel
Jus d’1/2 citron
2 cuillères à soupe d’eau
100 g de chou blanc mariné
300 g de riz cuit vinaigré
100 g d’edamame
Graines de sésame
Ciboulette

Les étapes de la recette :

Hachez l’ail et ajoutez-y la sauce soja, le Mirin, le miel, l’eau et le jus de citron.
Placez les pavés de saumon dans cette marinade et laissez-les reposer au moins 30 minutes au réfrigérateur.
Faites-les cuire 3 minutes de chaque côté à feu vif.
Dressez dans une assiette avec un fond de riz vinaigré (préalablement cuit), les crudités, quelques graines de sésame et de la ciboulette.
L'edamame, c'est quoi ?
Pour accompagner le saumon, l'influenceuse food Margot a choisi l'edamame. Mais, qu'est-ce que c'est ? Eh bien, l’edamame, qui signifie littéralement "haricot sur branche" en japonais, fait référence à la fève de soya fraîche communément consommée en Asie. Nutritive et pratique, elle est une délicieuse alternative de source de protéines à mettre au menu. Son goût fin rappelle celui du pois frais. Tout comme ce dernier, l’edamame peut être mangée avec sa cosse, mais celle-ci doit avoir préalablement été blanchie. C’est d’ailleurs écossée, blanchie, et surgelée que l’edamame est le plus souvent disponible en supermarché.

Pour le cuisiner, il suffit alors de blanchir l'edamame cinq minutes dans l’eau bouillante et de la refroidir dans l’eau glacée. À vous d'opter pour votre préférence : avec ou sans la cosse.

© Femme Actuelle
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