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Tout pour l'apiculture
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Lettre d'information n° 93
Décembre 2021 - Janvier 2022
API NEWS
FERMETURE ANNUELLE DE NOËL

Nos 4 magasins seront fermés du 15 décembre 2021 au soir au 3 janvier 2022 au matin pour inventaire et congés annuels.

Vous pouvez commander sur notre site mais les expéditions et les retraits en magasin ne reprendront que le 3 janvier 2022.

Nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d'année !
LES TRAVAUX DU MOIS
En décembre...

Gelées, pluies, bourrasques...Les fleurs, comme les instants propices au butinage, se révèlent exceptionnels.
La colonie dépense la plus grande partie de son énergie à réguler la température à l'intérieur de la ruche.
La ponte est inexistante. La population reste stable car très peu d'abeilles disparaissent. L'activité de la colonie est au ralenti. La consommation de miel est réduite...

Ne dérangez sous aucun prétexte vos abeilles : vous dissocieriez la grappe et la colonie éprouverait des difficultés à retrouver sa température idéale. Même si vous n'apercevez pas d'activité à la planche d'envol, ne vous inquiétez pas, c'est normal.

Vérifiez surtout que les ruches ne sont pas attaquées par les martres et les blaireaux. Si c'est le cas, recouvrez les boiseries endommagées avec des morceaux de tôle préalablement perforés, que vous fixerez délicatement avec des vis.

Profitez de l'inactivité des abeilles pour entretenir les abords du rucher : débroussaillez, élaguez les branches qui font trop d'ombre, plantez des arbres ou arbustes mellifères, améliorez les accès.

A la miellerie, fondez les cires d'opercules et vérifiez le matériel.



En janvier...

Dans de nombreuses régions de montagne et parfois sur l'ensemble du territoire, la neige fait son apparition (ou perdure) en quantité plus ou moins abondante.
Dans le midi, la floraison des premiers amandiers signale le retour imminent des beaux jours.

La colonie continue à se protéger du froid. La neige apporte beaucoup d'humidité et les abeilles qui effectuent leur vol de propreté, profitant d'un bref rayon de soleil, meurent dans la neige, frigorifiées, si elles s'y posent.

Tirez parti d'une belle journée pour effectuer une promenade de surveillance.

S'il y a de la neige, ne la retirez pas. Une fois encore, ne dérangez surtout pas vos ruches. Elles savent traverser ces périodes sans encombre. Seule une claustration prolongée pourrait favoriser un accès de nosémose.

Si le soleil fait son apparition et commence à faire fondre la neige, temporairement, vous pouvez disposer une tuile ou une planche en biais sur la planche d'envol et conter la façade,a fin d'obscurcir l'intérieur de la ruche et ainsi de dissuader les abeilles de sortir. En effet, elles périraient dans la neige.

Profitez de ces périodes reposantes pour monter des cadres et préparer dès à présent la prochaine saison.

Vous pouvez chercher de nouveaux emplacements et les aménager.

N'hésitez pas à lire des ouvrages ou des revues d'apiculture, vous y apprendrez quelques tours de mains utiles.

© EXTRAIT DE "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
En savoir plus en lisant "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
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INFORMATIONS DU SECTEUR APICOLE
VU DANS LA PRESSE OU SUR LE WEB
Plan pollinisateurs : le nouvel arrêté protège insuffisamment les abeilles

Natura-Sciences
Mis à jour le 22/11/2021 à 11:55
Publié le 22/11/2021 à 13:15

Les ministères de l’Agriculture et de la Transition écologique ont présenté ce week-end les grandes lignes du “plan pollinisateurs“. Ces mesures, regroupées en six “axes“, interviennent alors que l’effondrement des populations d’insectes pollinisateurs menace des productions agricoles.

Le nombre de ruches s’élevait à 1,7 million déclarées sur le territoire en 2020, contre un million en 2010. Pour mieux protéger les abeilles, le nouveau plan pollinisateur vise à stopper le déclin des abeilles et autres insectes essentiels à l’agriculture. Ce plan est valable pour la période 2021-2026. Le gouvernement avait promis ce plan après l’annonce en août 2020 de la réintroduction temporaire des insecticides néonicotinoïdes, nocifs pour les abeilles, pour la culture de la betterave.

Des horaires fixes pour les produits phytopharmaceutiques
Afin de protéger les grands pollinisateurs, le plan limite l’utilisation des produits phytopharmaceutiques, préparations destinées à protéger les végétaux et les produits de culture. Les agriculteurs pourront utiliser ces produits uniquement deux heures avant le coucher du soleil, et trois heures après.

La prise en compte des horaires fait l’objet d’un arrêté paru dimanche au Journal Officiel, qui entre en vigueur le 1er janvier 2022. Ces produits doivent préalablement avoir obtenu une autorisation de l’Agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire (Anses) pour un usage en période de floraison, “période allant de l’ouverture des premières fleurs à la chute des pétales des dernières fleurs”, selon le texte.

Selon l’arrêté, cette plage horaire d’application des produits phytosanitaires – qui appartiennent à la famille des pesticides – peut être modifiée en cas d’activité “exclusivement diurne” des “bio-agresseurs” (organismes vivants qui s’en prennent aux cultures), pour assurer “une protection efficace de la culture traitée“. Ceci est valable également si une maladie impose une utilisation urgente d’un “traitement fongicide“. Et ce, dans un délai “incompatible avec la période prévue” dans l’arrêté.

Lire aussi : Pesticides : des ONG veulent faire la lumière sur les “toxiques cachés”

Les apiculteurs contestent le nouvel arrêté
Les agriculteurs saluent le décret. Mais les apiculteurs estiment ne pas avoir été suffisamment associés à l’élaboration de ce plan. Ceux-ci demandaient, en plus d’horaires imposés, la prise en compte des températures, sans suite. Sans cette disposition, les agriculteurs peuvent traiter des cultures alors que les abeilles butinent.

“Deux heures avant le coucher du soleil, sans autre critère, pour nous ce n’est pas acceptable”, a déclaré à l’AFP Eric Lelong, président de l’Interprofession des apiculteurs (Interapi). À l’inverse, la plus grande organisation d’exploitants agricoles française, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs, saluent, au nom de la lutte contre le travail de nuit des agriculteurs, “l’ouverture permettant de déroger à l’obligation de traiter les cultures attractives seulement après le coucher du soleil, avec l’ajout d’une plage de deux heures avant le coucher du soleil”.

Ce plan prévoit notamment d’évaluer le risque de tous les pesticides, dont les herbicides et fongicides, pour les pollinisateurs en vue d’une possible restriction, voire interdiction de traitement sur les cultures attractives en floraison, aujourd’hui applicable uniquement aux insecticides. Mais la FNSEA et les Jeunes agriculteurs dénoncent aussi une “surtransposition des règles communautaires” qui “met les agriculteurs français en situation de distorsion de concurrence pour la protection de leurs cultures“, ainsi que “l’insuffisance des moyens financiers pour mettre en œuvre les objectifs ambitieux du plan Pollinisateurs“.

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Ecoutez le son que génèrent les abeilles pour faire fuir des frelons géants

Sciences & avenir
Par Rachel Mulot le 15.11.2021 à 11h38

Les abeilles asiatiques Apis cerena déclenchent une alarme vibrante particulièrement frénétique lors des attaques de frelons géants, ont montré des éthologues américains et vietnamiens.

Des vibrations rageuses et des bourdonnements frénétiques, avec des accents de trompette d'alarme déchirants... C'est ce que font entendre les abeilles domestiques asiatiques Apis cerena à l'approche des frelons géants (voir et écouter la vidéo ci-dessous). Ce signal vibro-acoustique d'une intensité jusqu'alors inconnue a été enregistré pour la première fois par des éthologues américains et vietnamiens. Leurs écoutes et observations ont été publiées dans Royal Society Open Science.

Attaquées par les frelons, les abeilles se défendent en faisant du bruit
"Les abeilles asiatiques utilisent un éventail impressionnant de stratégies pour protéger les nids des attaques de frelons, bien que l'on sache mal comment les alarmes anti-prédateurs coordonnent les défenses", explique Heather Mattila, du College Wellesley (Massachusetts, États-Unis). Nous avons comparé la signalisation vibro-acoustique et les réponses défensives des colonies d'Apis cerana attaquées soit par le frelon géant qui chasse en groupe, Vespa soror, soit par le frelon solitaire plus petit, Vespa velutina."

Préalablement, les scientifiques avaient enregistré le son d'une ruche bourdonnante d'activité mais paisible, avec des signaux sonores moins fréquents, entrecoupés de silences... Au total, ce sont plus de 30.000 signaux d'abeilles, en 1300 minutes d'enregistrement, provenant de trois chantiers apicoles à Hanoï, au Vietnam qui ont été captés.
(...)

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Miel : les années noires se suivent pour les apiculteurs

Frelons asiatiques, vols de ruche, climat… produire du miel devient de plus en plus difficile pour les apiculteurs. Les récoltes et les finances s’amenuisent. Pour autant on ne peut pas parler de pénurie.

France 3 Nouvelle-Aquitaine
Publié le 15/11/2021 à 15h25

Apiculteur depuis 35 ans, Michel Desorme n'a jamais fait une aussi mauvaise récolte. Installé à Nantiat en Haute-Vienne, cet amoureux des abeilles est de plus en plus résigné.

L’an dernier, les frelons asiatiques ont décimé 14 de ses 19 ruches, soit 700 000 abeilles. Si cette année, ils n’ont pas été aussi présents et violents, c’est la météo qui est venue ruiner les espoirs d’une année meilleure.

Plus de 60 % de pertes
A la foire du miel de Brive, tenue dimanche 14 novembre, même constat : "Nous avons perdu environ deux tiers de la production par rapport à l’an dernier à cause du temps", Jérémy Mombrial, président de l’abeille corrézienne. Une perte équivalente dans les différentes ruches de la région.

Le début du printemps, plutôt doux, annonçait une belle production. Mais les mois suivants ont mis un coup d’arrêt à la production des abeilles avec successivement du gel et des pluies. L’acacia ou le pissenlit, par exemple, donnent d’ordinaire le miel du début de saison. Cette année, ce n’était pas le cas.

"Les ruches ont souffert, elles ont manqué de nectar. Si nous ne les avions pas nourris, elles seraient mortes"
Filipe Armando, apiculteur

Nourrir les ruches, c’est un coût de production supplémentaire. Un coût malvenu quand les pertes sont déjà conséquentes. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, les apiculteurs font aussi face aux vols de ruche. Cet « effet cocktail » engendre une colère et des craintes.

Des hausses de prix à venir
Avec l’augmentation des coûts et une production à la baisse, les apiculteurs doivent augmenter le prix de vente. A la foire au miel de Brive, les producteurs se veulent rassurants. La hausse devrait être limitée à environ 1 euro le kilo.

Mais la hausse relative des prix pourrait s’accélérer à l’avenir. Car la production va connaître de nouvelles attaques : l’incertitude du climat, le frelon asiatique, « sans oublier de nouveaux parasites qui arrivent avec le réchauffement climatique », rappelle Simon Goutier, le président du Syndicat des Apiculteurs du Limousin. Et des effectifs de ruches à la baisse. Les apiculteurs vont donc devoir stimuler les naissances pour éviter l’hécatombe. Et croiser les doigts pour que la météo soit clémente au printemps prochain.

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Les abeilles enchaînent huit métiers dans leur vie

20 Minutes avec Brut
Publié le 27/09/21 à 12h48 — Mis à jour le 27/09/21 à 12h48

Ce sont les reines de la reconversion professionnelle : au cours de leur vie, les abeilles enchaînent huit fonctions différentes, selon leur âge. Chacune d’entre elles est cruciale pour la ruche, et tous les métiers fonctionnent en symbiose. Le premier job de l’abeille, c’est nettoyeuse : elle débarrasse la ruche des éléments étrangers comme les feuilles et les cailloux.

L’insecte mellifère devient ensuite nourrice pour les larves, puis ventileuse. En utilisant ses ailes pour la première fois, elle refroidit le nectar et aide à le transformer en miel. Le stade suivant, c’est manutentionnaire : elles sont chargées d’entreposer et transformer le miel. Ensuite, les bâtisseuses sont chargées de l’architecture et de la construction de la ruche et des alvéoles. Cette ruche est protégée par les gardiennes. Puis les abeilles deviennent exploratrices et recherchent de nouvelles sources de nectar et de pollen. Elles finiront leur vie en étant butineuses, pour ramener des denrées à la colonie. Découvrez les huit métiers de l’abeille dans la vidéo de notre partenaire Brut.

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APITHERAPIE
Aromiels : comment utiliser ces remèdes qui mêlent apithérapie et aromathérapie ?

Le miel et les huiles essentielles se marient à merveille. Leur alliance donne des remèdes naturels efficaces, très prisés en médecine douce, pour soigner nombre de petits maux du quotidien.

Les vertus santé du miel sont boostées par les huiles essentielles, et vice versa, car leurs actifs fonctionnent en synergie. Cette association, que l’on appelle aromiel, potentialise leurs effets respectifs. On peut trouver des aromiels prêts à l’emploi (Grog respiration de Famille Mary ou Miel-Sommeil de Pranarôm par exemple) ou les fabriquer soi-même. Les combinaisons sont infinies mais certaines sont particulièrement judicieuses.

Aromiel : l’union de l’aromathérapie et de l’apithérapie
L'avis du Dr Olivia Metral, docteur en pharmacie et auteure de Le miel dans votre pharmacie (éd. Baroch) : " Les aromiels conjuguent les qualités de l’aromathérapie et de l’apithérapie. Leurs effets sont décuplés dans la mesure où les propriétés thérapeutiques des huiles essentielles et celles du miel se renforcent en raison de leur synergie d’action. Une étude récente de l’université de Tiaret (Algérie) a par exemple montré que l’huile essentielle de thym et le miel de carotte possèdent une activité antibactérienne supérieure lorsqu’ils sont associés que lorsqu’ils sont pris séparément. Ce sont donc des remèdes à privilégier. Mais attention, les huiles essentielles sont déconseillées aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 6 ans ".

Miel : les précautions à prendre
Le miel est un produit périssable dont la composition évolue avec le temps. Sa concentration en principes actifs tend notamment à diminuer. Il ne faut donc pas conserver ses aromiels plus de 3 ans, sous peine d’une moindre efficacité. Gardez-les dans un bocal fermé au réfrigérateur.

Aromiel : un remède pour apaiser les maux de tête
Le miel d’oranger atténue la nervosité et les tensions dues au stress. Combiné à l’huile essentielle de néroli, qui rééquilibre le système nerveux, il dissipe les maux de tête générés par la fatigue et l’anxiété.

La recette : mélangez 40 gouttes d’huile essentielle dans 100 g de miel, avalez une cuillère à café 3 fois par jour en dehors des repas jusqu’à amélioration des symptômes.

Anti-fatigue : la recette d'aromiel pour retrouver de l'énergie
Le duo miel de châtaignier et huile essentielle de pin sylvestre est revitalisant. Le premier dope le tonus grâce à sa richesse en minéraux et en vitamines B. Le second booste la tension et stimule les glandes surrénales. Idéal en cas de surmenage, de convalescence ou de déprime.

La recette : prenez 2 gouttes d’huile essentielle de pin dans une cuillère à café de miel 3 fois par jour durant 7 jours.

L'aromiel pour combattre la toux
Le miel est un antitussif hors pair. Il réduit l’inflammation et désinfecte la gorge car il recèle de l’acide gluconique et du peroxyde d’hydrogène qui combattent les microbes. " Contre les toux sèches, optez pour le miel de lavande et l'huile essentielle de cyprès qui est anti-infectieuse, conseille le Dr Olivia Metral, docteur en pharmacie. Et contre les toux grasses, privilégiez le miel de sapin additionné d’huile essentielle de myrte et d’eucalyptus pour leur propriété expectorante ".

La recette contre la toux sèche : 2 gouttes d’huile essentielle de cyprès dans 2 cuillère à café de miel de lavande, 3 fois par jour durant 5 jours.

La recette contre la toux grasse : mélangez une goutte de chaque HE dans une c à c de miel, puis délayez dans une tasse d’eau chaude. 3 tasses/jour.

Le remède pour neutraliser la gastro
Le miel régule le transit intestinal et dynamise le microbiote. Associé à des huiles essentielles antibactériennes et antispasmodiques, il soulage la gastro-entérite.

La recette : avalez 1 goutte de chacune des huiles essentielles suivantes : tea tree, cannelle et basilic, diluées dans 2 cuillères à café de miel de sarriette 2 fois par jour durant 5 jours, associés à une alimentation pauvre en fibres.

Herpès labial : le remède à base de miel
Le couple miel de thym + huile essentielle de tea tree donne des résultats spectaculaires dans le traitement de l’herpès récidivant. " Des études ont montré que son efficacité est supérieure à celle du médicament de référence, l’Aciclovir ", précise Olivia Metral.

La recette : mélangez 2 gouttes d’huile essentielle dans une cuillère à café de miel et appliquez 3 fois par jour sur les boutons de fièvre jusqu’à ce qu’ils disparaissent.

Pour réguler la tension artérielle
Le miel d’aubépine fait baisser la pression du sang dans les artères. Pour un effet probant, il faut l’associer aux huiles essentielles de marjolaine – vasodilatatrice -, d’ylang-ylang et de petit grain mandarinier qui sont hypotensives.

En pratique : versez une goutte de chaque huile essentielle dans une cuillère à café de miel. Prendre une fois par jour durant 20 jours suivis d’un arrêt de 10 jours avant de renouveler si nécessaire.

Bouffées de chaleur : le bon aromiel pour les atténuer
Légèrement sédatif, le miel de trèfle tempère les troubles de la ménopause. Pour émousser les bouffées de chaleur, mariez-le avec de l’huile essentielle de sauge et de cyprès qui miment les effets des hormones féminines.

La recette : 2 gouttes de chaque huile essentielle diluées dans 2 cuillères à café de miel, 3 fois par jour pendant trois semaines / un mois.

L'aromiel pour lutter contre l’insomnie
L’huile essentielle de lavande officinale décuple le pouvoir anxiolytique du miel de lavande. Leur combinaison favorise un endormissement rapide et évite les ruminations nocturnes.

La recette : avalez 2 gouttes d’huile essentielle diluée dans une cuillère à café de miel avant 18h.

Hydrolamiels : l'alternative plus douce
Les mélanges de miel et d’hydrolats (ou eaux florales) sont des versions "light"d’aromiels car les actifs des hydrolats sont moins puissants que les huiles essentielles. Les femmes allaitantes et les personnes âgées peuvent donc les utiliser.

Pour lutter contre l’ostéoporose : 1 cuillère à café de miel de calluna + 1 cuillère à café d’hydrolat d’ortie piquante + 1 cuillère à café d’hydrolat de cassis matin et soir pendant 25 jours.
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