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Tout pour l'apiculture
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Lettre d'information n° 69
OCTOBRE 2019
API NEWS
INFORMATIONS DÉMÉNAGEMENT API DISTRIBUTION BORDEAUX
Le magasin de Bordeaux (qui est également le siège social et la plate-forme logistique) déménagera en décembre 2019.
Nous vous accueillerons dans un magasin entièrement neuf de plus de 500 m² et notre surface de stockage sera doublée en passant à 2000m².

Dès le mois de novembre 2019, toutes nos équipes seront sollicitées pour mener à bien ce
déménagement et nous ferons le maximum pour vous éviter tout désagrément lié à cet événement.

Néanmoins, le magasin de Bordeaux sera fermé au public et il n’y aura pas d’expéditions de commandes durant les différentes dates de fermeture.

Quelques dates importantes à noter :
- Du 2 au 8 décembre : fermeture du magasin du boulevard Alfred Daney et déménagement
- Lundi 9 décembre : ouverture au public du nouveau magasin avenue du Docteur Schinazi
- Du 18 décembre au soir jusqu’au 6 janvier au matin : fermeture pour inventaire et congés annuels

Pensez à anticiper vos commandes !
Notez notre nouvelle adresse à partir du 9 décembre 2019
4 avenue du Docteur Schinazi 33300 Bordeaux
(c’est à seulement 1800m du boulevard Alfred Daney)
Le numéro de téléphone reste inchangé : 05 56 39 75 14

Nouveau ! API DISTRIBUTION propose désormais des ateliers pédagogiques aux apiculteurs débutants.

MODULE 1 :
DÉCOUVERTE DE L'APICULTURE
animé par Valérie Doussin - Apicultrice & Présidente du GPGR
Durée : 3h30
Lieu : près de Langon (Gironde)
Dernière date disponible : samedi 5 octobre 2019

MODULE 2 :
PRÉPARATION A L'HIVERNAGE
animé par Valérie Doussin - Apicultrice & Présidente du GPGR
Durée : 3h30
Lieu : près de Langon (Gironde)
Dernière date disponible : samedi 26 octobre 2019

=> Cliquez ici pour découvrir le contenu des ateliers et les dates disponibles

FÊTE DE L'ABEILLE NOIRE (64)

Nous serons présents à la journée de l'abeille noire à Bidarray (64780), le dimanche 13 octobre.
Contactez le magasin de Lescar avant le 9 octobre pour passer vos commandes à livrer sur place ou passez vos commandes sur notre site internet (mode de livraison : "retrait Bidarray").

+ d'infos en cliquant ici
LES TRAVAUX DU MOIS
Dans la ruche...

Le temps se rafraîchit (10 à 15° en moyenne) et devient pluvieux. Les gelées nocturnes font leur apparition dans certaines régions.
C’est la fin des floraisons mellifères, excepté pour les callunes, le lierre et les arbousiers qui restent des ressources de dernier moment.
La colonie se prépare à affronter l’hiver, les jeunes abeilles n’ont plus d’activités et consomment pollen et couvain ouvert. Ce dernier est notablement réduit, tout au plus 2 cadres dans une ruche 10 cadres.
Les abeilles vont vivre au ralenti et se regrouper au centre de la ruche, en « grappe ».

Au rucher...

- Rassembler des colonies faibles
- Choisir et semer les semis d'automne des plantes méllifères
- Préparer l’hivernage : réduire les entrées (à 10 mm), poser une pierre sur le toit pour éviter qu'une bourrasque l'emporte, vérifier la solidité de l'ensemble de chaque ruche.
- La (dernière) visite d’automne par beau temps : retirer les lanières anti-varroa, noter les réserves de chaque ruche, examiner la ponte. Si celle-ci est suffisante, prévoyez un nourrissement stimulateur.
- Remplacer le couvre-cadres par un nourrisseur couvre-cadres, permettant d’intervenir rapidement en cas de nourrissement.
- Peser les ruches et noter les poids.
- Consigner toutes vos interventions et observations dans votre registre d’élevage.

En savoir plus en lisant "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
LES NOUVEAUTÉS
LOT DE 5 CARTES DE MARQUAGE
AVEC 99 N° ET COLLE
33.90 €
SPRAY NASAL BIO DES PYRÉNÉES 15ML
BALLOT-FLURIN
8.40 €
BOUCHON DISTRIBUTEUR DE CANDI
0.45 €

LES PRODUITS DE SAISON
PARTITION ISOLANTE DADANT CORPS
CONTOUR BOIS + ALUMINIUM
6.80 €
ENTREE HIVERNAGE DADANT 380X45 MM
1.25 €
CANDI FIRST 2.5KG
SANS HMF
4.30€
PESON ELECTRONIQUE POUR RUCHES
29.50€
CANDIFENOL 2.5KG
ENRICHI EN POLYPHENOLS
4.80€
REVUE DE PRESSE
Vers l'interdiction de 2 nouveaux "néonicotinoïdes" pour protéger les abeilles

Par Sciences et Avenir avec AFP le 11.09.2019 à 12h37

Deux nouvelles substances qui agissent comme des néonicotinoïdes vont être interdits car ils perturbent trop les abeilles ainsi que d'autres insectes.
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Deux nouvelles substances agissant comme des néonicotinoïdes vont être interdites en France pour protéger les colonies d'abeilles en déclin, a annoncé mardi 10 septembre 2019 Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire. "Demain (mercredi 11 septembre 2019), je mettrai en consultation un décret qui interdira deux nouvelles substances néonicotinoïdes, ces substances qui sont connues pour perturber les abeilles", a déclaré la ministre sur BFMTV.

Cinq néonicotinoïdes (clothianidine, thiaméthoxame, imidaclopride, thiaclopride et acétamipride) avaient déjà été interdits de tout usage phytosanitaire en septembre 2018. Les deux nouvelles substances concernées, "agissant comme des néonicotinoïdes", sont la flupyradifurone et le sulfoxaflor, a précisé le ministère à l'AFP. Deux substances qui, si elles sont autorisées en France, ne sont toutefois pas actuellement disponibles dans des produits sur le marché français.

"Ce décret intervient en application de la loi EGAlim, qui prévoyait l'interdiction des substances présentant le même mode d'action que les néonicotinoïdes. En l'état actuel des connaissances", deux substances répondent à cette définition : le sulfoxaflor et la flupyradifurone, selon le ministère. "La consultation publique durera trois semaines et cette interdiction entrera en vigueur d'ici à la fin de l'année", selon la même source.

Protéger les insectes mais aussi les habitants
Les néonicotinoïdes, apparus dans les années 1990 et devenus les insecticides les plus utilisés au monde, s'attaquent au système nerveux des insectes, donc des pollinisateurs. Même à faible dose, abeilles et bourdons sont désorientés, ne retrouvent plus leur ruche, le sperme des mâles est altéré... Pour la ministre, cette décision est complémentaire de la consultation lancée cette semaine par le gouvernement sur les distances entre les habitations et les zones d'épandage de produits phytosanitaires pour protéger les riverains.

"On est en train de protéger les habitants, c'est le sens de ces distances, mais il faut agir sur le fond en réduisant l'usage des pesticides, évidemment en accompagnant les agriculteurs", a-t-elle souligné.

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Près de 500 millions d'abeilles sont mortes en quelques mois au Brésil

Par Emeline Férard - Publié le 22/08/2019 à 18h53
GEO.FR
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Près de 500 millions d'abeilles sont mortes au Brésil au cours des trois premiers mois de 2019. Une hécatombe qui serait à attribuer notamment à l'utilisation massive de pesticides dans les cultures du pays.

Alors que l'Amazonie est en proie aux flammes, c'est un autre drame écologique resté jusqu'ici silencieux qui vient d'être mis en lumière au Brésil. Au cours des trois premiers mois de 2019, les abeilles domestiques brésiliennes ont connu une véritable hécatombe : près de 500 millions d'entre elles sont mortes dans quatre des états du Sud du pays, révèle l'agence Bloomberg.

Selon Aldo Machado, vice-président de l'association d'apiculture brésilienne Rio Grande do Sul, le phénomène a gagné de l'ampleur très rapidement. Moins de 48 heures après que de premières butineuses ont montré des signes de maladie, des dizaines de milliers ont succombé. "Dès que les abeilles saines ont commencé à éliminer les abeilles mortes des ruches, elles se sont retrouvées contaminées", a-t-il précisé. Alors, "elles ont commencé à mourir massivement".

Les pesticides pointés du doigt
Le déclin des populations d'abeilles domestiques (Apis mellifera) n'est pas un phénomène nouveau au Brésil. De nombreux apiculteurs ont enregistré des pertes ces dernières années. Mais celles-ci sont restées trop peu documentées pour identifier clairement l'ampleur du problème, de même que son origine. Maladie, parasite, changement climatique ou encore perte de l'habitat, les causes pourraient être multiples.

Toutefois, face à la récente hécatombe, ce sont des coupables bien précis qui ont été pointés du doigt : les pesticides. D'après Bloomberg, des analyses menées sur des abeilles mortes dans la ville de Mata ont révélé dans leur organisme des traces de cinq types de produits parmi lesquels le fipronil, un insecticide interdit depuis 2013 dans l'Union européenne en raison du risque qu'il présente pour les butineuses.

La découverte de cette substance a ravivé les critiques envers l'utilisation massive de ces produits au Brésil. Selon l'Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), leur usage s'est accru de 770% entre 1990 et 2016, notamment dans les cultures de soja. En 2017, ce sont ainsi plus de 500.000 tonnes de pesticides qui ont été versés dans les champs brésiliens. Et cette tendance est loin de s'inverser.

Depuis le 1er janvier et l'arrivée au pouvoir du président Jair Bolsonaro, pas moins de 290 nouveaux produits ont été autorisés, soit près de 1,4 par jour. En comparaison, à peine 45 l'avaient été sur la même période en 2010. Aujourd'hui, ce sont ainsi quelque 2.300 de ces substances qui peuvent être utilisées dans les cultures brésiliennes, dont certaines sont interdites dans l'Union européenne ou aux Etats-Unis.

Interrogée par Bloomberg, Andreza Martinez, responsable de Sindiveg, un groupe qui représente des producteurs de pesticides, a souligné que la moitié des autorisations attribuées concernait des ingrédients et non des produits finaux. "Cela apporte davantage d'outils aux agriculteurs, mais ça n'implique pas une hausse de l'utilisation de produits dans les champs", a-t-elle affirmé.

Des toxicités réévaluées
L'argument est loin de convaincre quant aux risques associés à ces substances pour les abeilles comme pour la santé humaine. "'Plus les produits sont nombreux, plus nos chances d'assurer la sécurité diminuent, parce que vous ne pouvez pas tous les contrôler", a jugé Silvia Cazenave, professeur de toxicologie à la Catholic Pontifical University de Campinas.

De même, la toxicité de certains pesticides employés est loin d'atténuer les inquiétudes. D'après Greenpeace Brésil, environ 40% d'entre eux sont "hautement ou extrêmement toxiques" et présentent un risque pour la santé humaine ou l'environnement. Pourtant, ils ne sont pas tous classés comme tels. Certains ont même vu leur risque reconsidéré sous le gouvernement Bolsonaro.

En plus des nouvelles autorisations, l'Agence de réglementation de la santé du Brésil (Anvisa) a en effet récemment réévalué 1.942 pesticides déjà enregistrés, explique le site Mongabay. Le nombre de produits classés "extrêmement toxiques" serait ainsi passé en quelques mois de 702 à 43, encourageant encore davantage leur utilisation.

En plus de pointer du doigt la quantité excessive de produits, certains dénoncent également leur mauvais usage hors des champs ou sur des cultures qui n'en ont pas besoin. "La mort de toutes ces abeilles est un signe que nous nous faisons empoisonner", a affirmé Carlos Alberto Bastos, président de l'Association d'apiculture du District fédéral au Brésil.
L'abeille africaine
le trésor méconnu du continent

RFI
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Présente sur Terre depuis plus de 60 millions d’années, l'abeille, au cœur de l’écosystème, est indispensable à la survie humaine. Animal sacré pour de nombreuses civilisations, elle symbolise la vie, la guérison, la pureté. Chez les Mayas, l'abeille n'était pas seulement une messagère divine mais une représentante directe des dieux et déesses. Elle est une émanation de la lumière solaire chez les Incas, ou encore totem tribal en Afrique et en Australie. Depuis une trentaine d’années, cet insecte disparaît massivement un peu partout dans le monde. Si certaines espèces ont été officiellement reconnues en voie d'extinction, l'abeille africaine résiste mieux. Portrait d’une butineuse au caractère bien trempé, porteuse d’espoirs de revenus importants.

Un peu plus jaune, un peu moins velue et légèrement plus petite, l’abeille africaine ressemble morphologiquement à l’abeille européenne. Tout comme elle, elle est végétarienne et appartient à la même espèce d’abeilles, l’apis mellifera.

L’apis mellifera serait issue d’une ancienne espèce d’abeille cavicole arrivée d’Asie qui se serait ensuite rapidement propagée en Europe et en Afrique. Actuellement, 20 000 espèces d'abeilles sont répertoriées sur la planète dont environ 2 000 en Europe et près de 1 000 en France.

Originaire de Namibie dans le sud-ouest de l'Afrique, l'abeille africaine a la même morphologie que les différentes espèces d'abeilles européennes, mais elle est plus résistante aux maladies. Elle peut voler dans des conditions climatiques difficiles et sa fécondité est plus importante. Plus productive que les abeilles européennes et bénéficiant d’un taux de mortalité moindre, l’abeille africaine est réputée agressive… Mythe ou réalité ?

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Berlin envahi par des essaims d'abeilles

De plus en plus de Berlinois s'improvisent apiculteurs, sans avoir toutes les compétences pour s'en occuper correctement, rapporte le « Guardian ». Par LePoint.fr

Publié le 09/08/2019 à 16:42 | Le Point.fr

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C'est du jamais-vu dans les rues de la capitale allemande. Motos, balcons, guidons de vélo, feux rouges... Des essaims d'abeilles se nichent partout. La conséquence d'une tendance écolo, au départ plutôt altruiste.

Pour protéger cette espèce en danger, de nombreux Berlinois se sont improvisés apiculteurs, mais sans en avoir toutes les connaissances techniques. Résultat, des essaims entiers se logent dans des endroits peu commodes pour les habitants et peu propices à leur survie, rapporte le Guardian.

L'association allemande d'apiculture tire la sonnette d'alarme. « Beaucoup de gens se sentent concernés par le changement climatique et la disparition des abeilles et veulent agir », explique Benedikt Polaczek, le président de l'association. Mais le nombre d'abeilles est maintenant trop important pour la ville. Les essaims n'ont plus assez de nourriture ni d'habitat. « Il y a maintenant environ 10 000 colonies d'abeilles, rien que dans Berlin », dénonce le spécialiste. Et symbole de cet engouement, dans toute l'Allemagne, le nombre de membres de l'association a bondi de 92 000 en 2013 à 120 000 aujourd'hui, précise le journal.

Eau sucrée
Pour tenter de préserver le plus de colonies d'abeilles possible à Berlin, 50 cueilleurs d'essaims volontaires parcourent chaque jour les rues pour les sauver. Ils sont équipés de boîtes trouées, de bâches, de brosses à abeilles et de citronnelle pour tromper les insectes et les capturer. « Le truc, c'est d'attraper la majorité de l'essaim avec la reine, et le reste suit », précise Jonas Hörning, un cueilleur d'essaim.

Quand les abeilles se trouvent dans des arbres, il est possible de couper la branche concernée, mais sur des objets comme des motos, la technique est de vaporiser de l'eau sucrée pour ramasser plus tranquillement la colonie. Les abeilles ainsi sauvées sont ensuite placées chez des apiculteurs expérimentés ou aspirants. Il existe même un site internet spécialisé qui permet de les localiser.

Des kits en ligne trop accessibles
Cette année, la saison de l'essaimage est maintenant terminée, mais Benedikt Polaczek reste inquiet du devenir des abeilles. En l'absence de nourriture suffisante, certains apiculteurs sont obligés de les nourrir avec du sirop de glucose pour qu'elles survivent à l'hiver. Avant de s'essayer à l'apiculture, cinq années de formation sont normalement nécessaires. Mais dans les faits, peu suivent ce protocole et les kits de démarrage à l'apiculture restent très accessibles sur Internet, signale l'association.


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POUR LES GOURMANDS
Filets de saumon au miel et à la moutarde de Dijon
Préparation: 10 minutes
Attente: 1 heure
Cuisson: 10 minutes
Donne 4 portions

Ingrédients :
3 c. à soupe de moutarde de Dijon
2 c. à soupe de miel
1 c. à soupe d’huile de canola
1 c. à soupe de zeste de citron
1 c. à thé de sel
1/2 c. à thé de poivre
4 filets de saumon avec la peau (voir Notes)
poivre en grains (garniture) facultatif

Préparation
Dans un grand sac à ouverture-éclair, mélanger la moutarde, le miel, l’huile, le zeste de citron, le sel et le poivre. Ajouter les filets de saumon et retourner plusieurs fois le sac pour bien les enrober.
Laisser mariner 1 heure à la température ambiante ou jusqu’à 8 heures au réfrigérateur (voir Note).
Préchauffer le barbecue à feu moyen et en huiler la grille.
Retirer les filets de poisson de la marinade et les transférer sur le barbecue, la peau en dessous.
Faire griller, le couvercle fermé, jusqu’à ce que la chair s’émiette facilement mais que l’intérieur du saumon soit encore légèrement rose foncé, environ 3 minutes de chaque côté. Parsemer de poivre en grains, si désiré. Servir avec la salade de fenouil grillé, de pommes et d’estragon.

Notes :
Pourquoi préférer les filets de saumon avec la peau? Celle-ci contribue à garder l’humidité dans la chair du poisson pendant la cuisson. Pour obtenir une surface croustillante, faire griller d’abord le filet la peau en dessous.
Si le poisson a mariné au réfrigérateur, le ramener à la température ambiante avant la cuisson.

Crédits : chatelaine.fr
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