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Tout pour l'apiculture
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Lettre d'information n° 63
Mars 2019
API NEWS
Retrouvez nous prés de chez vous pour les rassemblements d'apiculteurs :

samedi 2 mars
AG de L'Abeille Landaise
Salle Polyvalente de Hinx (40180)

samedi 2 mars
AG du S.A.G.A.
Salle des fêtes de St Laurent Médoc (33112)

JOURNÉES PORTES OUVERTES 2019
API DISTRIBUTION LESCAR

Jeudi 14, vendredi 15 et samedi 16 mars
de 9h30 à 18h00

-10% sur tout le magasin pendant les 3 jours
(cumulables avec les remises quantitatives, dans la limite des stocks disponibles et non cumulables avec la carte fidélité)

API DISTRIBUTION
148 boulevard de l'Europe 64230 Lescar

API DISTRIBUTION BORDEAUX

Vendredi 29 et samedi 30 mars
de 10h00 à 17h30

Conférence de Roch Domerego «L’apithérapie autour du monde»
samedi 30 mars à 14h (réservation obligatoire)

Pendant ces journées :
5% de remise sur tout le magasin sauf sur le matériel LEGA qui bénéficie de 10%
(Remises cumulables avec les remises quantitatives, dans la limite des stocks disponibles mais non cumulables avec le programme fidélité)

API DISTRIBUTION
501 boulevard Alfred Daney 33300 Bordeaux

API DISTRIBUTION PORTET-SUR-GARONNE

vendredi 12 et samedi 13 avril
de 9h00 à 18h00

Pendant ces journées :
5% de remise sur tout le magasin sauf sur le matériel LEGA qui bénéficie de 10%
(Remises cumulables avec les remises quantitatives, dans la limite des stocks disponibles mais non cumulables avec le programme fidélité)

API DISTRIBUTION
3 avenue de la Saudrune 31120 Portet-sur-Garonne

LES TRAVAUX DU MOIS
Dans la ruche...

Attention aux quelques gelées qui peuvent arriver en mars. La pluie est également souvent au rendez-vous.
Les abeilles rentrent désormais avec du pollen sur les pattes. Les principales sources sont les noisetiers, les amandiers, les buis, les saules marsault, les ficaires, les hellébores et les prunelliers.
Dans les régions méditerranéennes, les fruitiers commencent leur floraison.

Dans la ruche, la colonie se développe rapidement. Vers mi-mars, ils est normal de trouver 3 cadres couverts de couvain.
Elles effectuent également leur vol de propreté.



Au rucher...

- nourrir au sirop pour stimuler la colonie
- installer des abreuvoirs
- changer le fond de ruche
- examiner les déchets sur le fond de ruche
- effectuer la visite de printemps
- compter les abeilles
- caler le nid à couvain
- observer la colonie et le couvain
- équilibrer les colonies

En savoir plus en lisant "L'apiculture mois par mois" de Riondet
LES PROMOTIONS
&
LES PRODUITS DE SAISON
PROMOTIONS VALABLES DU 1er au 15 mars 2019
Dans la limite des stocks disponibles
CANDI FIRST 2.5KG CANDIFENOL 2.5KG RUCHETTE POLYSTYRENE
6 CADRES
NOURRISSEUR POLYSTYRENE
RUCHETTE 6 CADRES
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4.30 €
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BUTIFORCE® 15KG
22.50 €
AGENDA RUSTICA
DE L'APICULTEUR
14.95 €
FOND NICOT DADANT
VENTILATION TOTALE
9.64 €
ABREUVOIR 30L
39.50 €
LES NOUVEAUTÉS
ABC DE L'APICULTURE
27.50 €
ABEILLES GARDIENNES DE NOTRE AVENIR
10.00 €
ÉLEVER DES ABEILLES EN RUCHES WARRÉ
14.95 €

APIPROTECT - PIÈGES COLLANTS
POUR FRELONS PAR 2
5.00 €
LE POLLEN AU SECOURS
DES ANTIBIOTIQUES
8.00 €
SAUVONS LES ABEILLES !
7.95 €
ACTUALITES
LES BRÈVES DE L'ADA Nouvelle-Aquitaine
Aides FranceAgriMer pour 2018-2019 : les 2 dispositifs d'aides concernant l´aide à la transhumance et l´aide au maintien et au développement du cheptel apicole sont reconduits. Les demandes seront à effectuer par téléprocédure, la plate-forme devrait ouvrir courant février.

Plus d'infos sur le site de FranceAgriMer, en cliquant ici

Le 24 janvier 2019 ont eu lieu les premières Assises régionales de la biodiversité Nouvelle-Aquitaine à Limoges.

Construites autour de conférences, d’une table ronde et d’ateliers thématiques, ces assises ont permis ont de partager les connaissances et les enjeux, de présenter des démarches mises en œuvre sur les territoires et d'identifier des leviers et opportunités d'action en faveur de la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine.

Retransmission des débats sur ce lien
REVUE DE PRESSE
En Mayenne, près de deux ruches d'abeilles sur cinq sont mortes l'hiver dernier

Samedi 16 février 2019 à 19:01
France Bleu Mayenne
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L'association Abeilles Mayennaises organisait ce samedi son assemblée générale à Laval.
Elle a dressé un constat alarmant sur la mortalité des abeilles dans le département. Elle a atteint les 38 %.

Ce sont des sentinelles de la biodiversité et elles sont en train de disparaître à vitesse grand V : les abeilles. Ce samedi 16 février à Laval à l'occasion de son assemblée générale, l'association Abeilles Mayennaise a dressé un constat alarmant. Au cours de l'hiver 2017-2018, malgré une grosse production de miel, la mortalité des abeilles a atteint le seuil de 38 % en Mayenne contre 16 à 17 % les années précédentes. Cela représente la disparition de deux ruches sur cinq dans le département.

Selon l'association, plusieurs facteurs expliquent ce déclin, comme par exemple le parasite Varroa, l'environnement (pesticides et pratiques agricoles), le frelon asiatique présent depuis 2004 ou encore l'évolution du climat.

La disparition des abeilles est une véritable catastrophe pour l'ensemble de la biodiversité a déploré Jean-Marc Desnoë, président des Abeilles Mayennaises "la fonction première des abeilles, c'est la reproduction des plantes. L'abeille représente un tiers de notre nourriture, si elles disparaissent la corbeille de fruits sur notre table sera fortement allégée, même chose pour les légumes" prévient-il.

Autre préoccupation, l'arrivée d'un nouveau parasite dans les ruches françaises "l'Aethina Tumida, un petit coléoptère des ruches, il a été détecté en 2014 en Italie" raconte Maud Belliard, vétérinaire à Gorron, diplômée en pathologie apicole "ce coléoptère serait une catastrophe pour l'apiculture, il détruit tout dans la ruche, le miel devient impropre à la consommation pour l'homme et les abeilles". Pour prévenir de son arrivée, des réunions sont organisées en Mayenne. La prochaine se tiendra le 22 mars à la Chambre d'Agriculture.

Par ailleurs, si vous êtes apiculteur en Mayenne et que vous constatez des mortalités ou des affaiblissements de colonies d'abeilles, déclarez les à l'OMAA des Pays de la Loire (Observatoire des Mortalités et des Affaiblissements de l'Abeille Mellifère) au 02 41 69 80 69.

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Pourquoi les abeilles tournent-elles à droite?

Agence Science-Presse
Vendredi 22 février 2019
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On ne sait toujours pas trop pourquoi les abeilles semblent avoir tendance à tourner à droite. Mais ça pourrait contribuer à une meilleure cohésion sociale chez elles.

Le « biais directionnel », c’est-à-dire le fait de préférer une direction, est déjà connu chez plusieurs animaux. Pour démontrer s’il existe bel et bien chez les abeilles, l’entomologiste américain Thomas A. O'Shea-Wheller leur a confectionné une expérience faite de deux boîtes : l’une était constituée d’un espace ouvert et l’autre, d’un labyrinthe de tunnels étroits. Dans l’espace ouvert, sur 180 expériences, les abeilles ont tourné à droite deux fois et demi plus souvent qu’à gauche (86 contre 35). Dans le labyrinthe, elles n’ont montré aucune préférence entre la gauche et la droite.

Bien que cette expérience soit insuffisante pour démontrer que les abeilles ont bel et bien une préférence, elle s’inscrit dans une longue série de tentatives chez les biologistes pour comprendre le comportement des insectes dits « sociaux » : qu’est-ce qui fait qu’un groupe va choisir tel lieu plutôt que tel autre pour établir sa ruche — par exemple, quand des abeilles explorent une cavité rocheuse ou un tronc d’arbre creux ? Le fait d’adopter un même comportement peut aider, explique le chercheur : « en entrant de la même façon et en tournant de la même façon, elles sont plus susceptibles de se rencontrer et d’avoir une meilleure idée de la popularité du site ». Sa recherche est parue le 20 février dans la revue Biology Letters, mais beaucoup d’autres observations seront nécessaires pour pouvoir affirmer avoir compris la « psychologie » de ces petites bêtes.

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Météo : le mois de février est si doux que les abeilles se croient au printemps, ce qui les met en danger

Par B.L. avec Rodolphe Augier
Publié le 22/02/2019
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D’habitude au mois de février, les abeilles sont engourdies dans leurs ruches en attendant le printemps. Mais, la douceur actuelle les fait sortir … ce qui n’est pas sans danger, explique Paul Fert, directeur général de l’école des hautes études en apiculture de Dijon.

Pourquoi ce mois de février est-il exceptionnel pour les abeilles ?
Depuis une semaine, on a un temps atypique pour un mois de février : on a une vingtaine de degrés avec un grand soleil. Les abeilles sortent. La reine s’est remise à pondre.
La colonie perçoit que les beaux jours sont en train d’arriver et elle est en train de se développer, alors que pendant tout l’hiver, elle avait réduit sa taille et économisé son énergie.
Quels sont les risques d’un temps aussi doux en plein hiver ?
Il y a un risque car il peut encore y avoir des gelées jusqu’à la fin février, en mars et jusqu’au début avril.
Cela pourrait créer un vrai choc dans la colonie et créer des maladies, voire entraîner une mortalité.

Outre les risques météo, cette douceur inhabituelle peut provoquer des problèmes au sein de la colonie :
-s’il y a trop de larves à prendre en charge et s’il n’y a pas assez d’abeilles pour cela, elles vont mourir.
-il y a aussi un risque d’épuisement des reines. Quand l’hiver a tendance à raccourcir, la reine va pondre, pondre, pondre… Conséquence : sa longévité va être raccourcie.

Les abeilles trouvent-elles de quoi butiner alors qu’on est en hiver ?
La végétation perçoit aussi ces signaux et la végétation est également en avance.
Le noisetier et le saule marsault commencent à sortir par exemple. Les abeilles ont déjà commencé à rentrer du pollen et du nectar.

Que peuvent faire les apiculteurs face à ce phénomène ?
Une année normale, on ouvre les ruches début mars. C’est à ce moment-là que les apiculteurs font le bilan de l’hiver.
Certains ont résisté à la tentation et n’ont pas encore ouvert leurs ruches, d’autres l’ont fait avec trois semaines d’avance.

Mais, dans tous les cas, la colonie est réveillée. Ensuite, l’apiculteur s’autorise ou pas à faire une visite. Certains veulent voir si la colonie a encore des réserves, s’il faut l’aider à finir l’hiver ou si tout se passe bien.


Cette sortie précoce d’hivernage concerne-t-elle seulement la Bourgogne ?
Ce phénomène, on l’observe partout en France. Le sud est encore plus en avance que la Bourgogne.
Il y a deux semaines, il faisait déjà 20 degrés dans le sud, alors que chez nous c’est surtout depuis cette semaine.

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La plus grosse abeille du monde retrouvée en Indonésie

LCI
22/02/19
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INSECTE GÉANT - "Megachile pluto" est la plus grande abeille du monde, elle n'avait pas été aperçue depuis 1981. Des chercheurs ont annoncé jeudi avoir retrouvé l'insecte sur une île en Indonésie.

Elle n'avait pas été aperçue depuis des décennies. Des chercheurs ont annoncé jeudi avoir finalement retrouvée l'abeille de Wallace, la plus grande du monde, sur une île reculée d'Indonésie. Toute noire, de la taille d'un pouce humain, l'insecte est imposant.

"C'était à couper le souffle de voir ce "bouledogue volant"", a commenté dans un communiqué de Global Wildlife Conservation le photographe naturaliste Clay Bolt qui a retrouvé une ruche naturelle dans la forêt tropicale d'une île des Moluques du Nord. "De voir à quel point cette espèce est grande et magnifique, d'entendre le son de ses ailes géantes (...) était incroyable", a-t-il ajouté.

Cette "megachile pluto" dont la femelle peut atteindre près de 4 cm de long et plus de 6cm d'envergure, soit quatre fois plus grande que l'abeille à miel, avait été découverte par le Britannique Alfred Russel Wallace en 1858. Plus d'un siècle plus tard, en 1981, elle avait été redécouverte sur trois îles des Moluques du Nord par un entomologiste.

"J'espère que cette redécouverte va déclencher de nouvelles recherches qui vont nous permettre de mieux comprendre cette abeille unique et de la protéger", a commenté Eli Wyman, entomologiste de l'université de Princeton qui participait au voyage. De précédentes expéditions dans la région n'avaient pas permis de la repérer.

La liste rouge des espèces en danger de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui fait référence, classe l'abeille de Wallace comme "vulnérable", et non en danger, notant que son habitat reculé rend son étude difficile. Les scientifiques savent malgré tout qu'elle fait ses ruches dans des termitières installées dans des arbres, utilisant la résine récoltée avec ses mandibules pour protéger sa colonie des termites.

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Le miel que nous consommons reste pollué longtemps par les néonicotinoïdes et autres pesticides

Notre-planete.info
19 février 2019
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Des chercheurs de l'Université de Neuchâtel (UniNE) ont mis au point une méthode pour quantifier des concentrations infimes de néonicotinoïdes dans le miel, complétant une première étude parue dans le journal Science en 2017. Avec leurs collègues du Jardin botanique de Neuchâtel qui ont participé à ce travail, ils s'inquiètent de la longue stabilité de ces molécules dont certaines perdurent au moins 40 mois dans le miel. Ces résultats sont publiés dans la revue scientifique Environmental Pollution.

La longue stabilité de ces molécules suscite l'inquiétude des chercheurs neuchâtelois. « Si ces substances sont rapportées à la ruche avec le nectar, cela signifie que l'ensemble de la colonie (y compris la reine) est exposé durant toute une vie à des neurotoxiques », prévient Blaise Mulhauser, directeur du Jardin botanique de la Ville de Neuchâtel.

« De même, le miel destiné à la consommation humaine conservera une concentration identique de pesticides durant de nombreux mois, ajoute Edward Mitchell, professeur de biologie à l'UniNE et co-auteur de l'étude. Bien que pour l'instant seuls quelques échantillons analysés dépassaient les normes actuellement en vigueur pour la consommation humaine, nous ne savons pas encore bien quel impact ces substances ont sur la santé humaine à long terme. »

Côté quantification de molécules, la prouesse réalisée par la Plateforme neuchâteloise de chimie analytique (NPAC) est remarquable : détecter une concentration de 2 picogrammes d'une substance par gramme de matière, soit l'équivalent d'une masse d'une pièce de 5 centimes dans une masse égale à 9 fois celle de la tour Eiffel.
Le gain de sensibilité jusqu'à 1000 fois supérieur aux méthodes utilisées précédemment permet de mieux détailler les niveaux de pesticides présents dans l'environnement. « Les taux maximaux autorisés pour la consommation humaine sont de l'ordre de 50'000 pg/g, alors que la santé des abeilles et d'autres insectes bénéfiques pour l'homme est affectée à partir de 100 pg/g. Cela représente tout de même des milliards de molécules dans le cerveau d'une abeille », observe Edward Mitchell.

Par rapport à l'étude de 2017, la présence de quatre autres molécules non testées à l'époque (dinotefuran, nitenpyram, sulfoxaflor, et flupyradifurone) a été établie dans 28% des 36 échantillons analysés. « Le dinotefuran et le nitenpyram ne sont pas des substances nouvelles, indique Gaétan Glauser, responsable du NPAC et auteur principal de l'étude. Elles sont juste moins utilisées et donc moins souvent mesurées, mais pour avoir une vision globale, nous avons voulu les inclure. Le dinotefuran n'est pas autorisé en Suisse, mais il est utilisé aux Etats-Unis et au Japon. Le nitenpyram est peu utilisé en agriculture, plutôt en usage vétérinaire. »

Quant au sulfoxaflor et à la flupyradifurone, le débat fait actuellement rage concernant leur appartenance à la classe des néonicotinoïdes ou pas. « Les premières études scientifiques ont démontré que ces molécules ont les mêmes effets que les autres néonicotinoïdes et partagent un mode d'action similaire ciblant les récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine dans le système nerveux, explique Gaétan Glauser. Plutôt que d'attendre 10 ou 20 ans pour tester leurs effets de manière exhaustive, il semble plus raisonnable d'appliquer le principe de précaution et de considérer ces nouvelles molécules comme des néonicotinoïdes. »

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POUR LES GOURMANDS
Poêlée de pommes aux noisettes torréfiées, sauce au chocolat noir
Pour 4 personnes - Préparation : 10 à 20 minutes - Cuisson : 5 à 10 minutes.

INGRÉDIENTS
4 pommes
20 g de beurre
2 c. à c. de miel
60 g de noisettes
100 g de chocolat noir pâtissier

- Peler les pommes et les tailler en fins quartiers.
- Les poêler avec le beurre le miel. Les faire dorer en les gardant légèrement al dente.
- Concasser les noisettes dans un mortier et les faire torréfier (griller) quelques instants dans une autre poêle sans matière grasse.
- Casser le chocolat dans un bol puis le faire fondre au bain marie (ou deux fois une minute au micro-ondes en remuant à la cuillère entre les deux périodes de chauffe).
- Sur chaque assiette de service disposer harmonieusement les pommes parsemées de noisettes concassées torréfiées.
- Servir le chocolat dans de petites coupelles individuelles placées au bord de l'assiette ou directement sur les fruits poêlés.
Téléchargez ici notre catalogue 2018/2019
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