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Tout pour l'apiculture
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Lettre d'information n° 96
Avril 2022
API NEWS
CATALOGUE API DISTRIBUTION 2022/2023
Dans le cadre de notre démarche écologique et afin de limiter les impressions et les envois inutiles, nous souhaitons savoir comment vous souhaiteriez recevoir notre prochain catalogue. Vos réponses sont importantes pour nous, merci d'avance du temps que vous y consacrerez.
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LES TRAVAUX DU MOIS
Le début de printemps est un moment charnière dans l’année apicole.

Les abeilles d’hiver auront été progressivement remplacées par celles qui assureront le formidable développement de la colonie puis la récolte et le stock d’hivernage.

La visite de printemps s'effectue fin mars/début avril lorsque la température est supérieure à 15°C. Cela est variable en fonction des températures et du niveau de fleurissement de l’environnement.
Au cours de la visite l'on recherche les points suivants : état sanitaire, provision, présence de la reine, quantité et qualité du couvain, force de la colonie.
Toute colonie dont l'activité sera faible nécessitera une nouvelle visite pour en rechercher la cause.
Si elle est malade, l'isoler aussitôt et la traiter. Si l'essaim est faible, le sacrifier et désinfecter la ruche puis repeupler aussitôt. Les colonies destinées à l'élevage de reines doivent être surveillées de près et nourries abondamment.

Vous effectuerez une seconde visite au cours du mois pour remplacer au moins deux cadres sur dix (si possible trois) et agrandir le nid à couvain en périphérie.
Les cadres les plus vieux se trouvent de l’extérieur vers le centre et les plus récents au centre.
Pour ajouter un cadre avec de la cire gaufrée, enlevez un cadre du bord extérieur puis faites glisser les autres cadres vers le bord extérieur. Ensuite, insérez un cadre ciré contre le couvain.

Cette visite doit être effectuée suffisamment tard pour que les températures soit déjà clémentes la nuit et suffisamment tôt pour que les ruches ne soit pas trop développées.
Une intervention au rucher se fait par temps ensoleillé, une température supérieure à 15°C, pas de vent et de 14H00 à 16H00 l’après-midi.

Avril est aussi le début de l’essaimage. Chaque jour de chaleur, entre midi et 14 h, surveillez l’animation devant vos ruches. Les essaims sortent toujours en milieu de journée. S’il y a plusieurs jours de pluie et de froid, il est fréquent de voir les essaims sortir le premier jour ensoleillé qui suit.
Eventuellement, placez dans votre rucher une ruche ou ruchette piège. Pour cela, choisissez une vieille ruche ou une ruche neuve passée au chalumeau. Vous pouvez y ajouter de la pommade attire-essaim. Mettez dans la ruche quelques vieux cadres de cire noire sur les côtés et quelques cadres neufs au milieu. Orientez la ruche vers l’est.

C'est également le moment de nourrir les ruches pour stimuler l'activité des colonies et la ponte de la reine. L'élevage de plus en plus intense va nécessiter d'abondantes provisions, et, si le mauvais temps retient les butineuses à la ruche, les nombreuses larves à nourrir auront vite fait d'épuiser les provisions restantes, mettant ainsi en péril la colonie.

Les entrées de ruche métalliques ou plastiques seront enlevées pour faciliter les allées et venues des butineuses.

Les abeilles ont besoin d'eau, s'il n'y en a pas à proximité de votre rucher, veillez à ce qu’un abreuvoir soit toujours rempli.

Comme souvent en apiculture, la météo joue un grand rôle dans le développement printanier. Si elle est favorable, visitez vos colonies chaque semaine pour déterminer le moment favorable à la pose de la hausse. Dans certaines régions, on commence à mettre les hausses aux derniers jours du mois d'avril.
Lorsque tous les cadres sont bâtis, il est temps de poser la hausse en plaçant une grille à reine entre le corps et la hausse.
Si cela est fait trop tard, le manque de place peut déclencher un essaimage. Mais attention de ne pas le faire trop tôt : si le froid revient, l’agrandissement du volume à chauffer freinera la colonie dans son développement.

© EXTRAIT DE "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
En savoir plus en lisant "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
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PROCHAINS ATELIERS PÉDAGOGIQUES APICOLES
ATELIER VISITE DE PRINTEMPS
2 AVRIL 2022
ATELIER VISITE DE PRINTEMPS
9 AVRIL 2022
ATELIER DECOUVERTE DE L'APICULTURE
23 AVRIL 2022
ATELIER ELEVAGE DE REINES
30 AVRIL 2022
69.00 € TTC 69.00 € TTC 69.00 € TTC 69.00 € TTC
INFORMATIONS DU SECTEUR APICOLE
INFOS LOCALES

L'association Natura !! fait diffuser le film "être avec les abeilles" le samedi 9 avril a 17h30 a Canéjan. Il est seulement sur diffusion organisée

Plus d'infos en cliquant ici
ETIQUETAGE DES EMBALLAGES MÉNAGERS : LE GRAND MÉNAGE
Par Itsap-Com, le 16 décembre 2021

Du nouveau dans le paysage des logos
2022 marque le début de l’application de la loi du 10 février 2020 contre le gaspillage et pour une économie circulaire. Cela aura pour conséquence un certain nombre de changements sur le visage de nos emballages : certains logos disparaissent, remplacés par d’autres, pour plus de clarté, c’est en tout cas le but recherché. On vous explique ce qui change et les quelques zones d’ombres qui resteront à clarifier.

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VU DANS LA PRESSE OU SUR LE WEB
Pourquoi les abeilles sont-elles si souvent jaunes et noires ?

NUMERAMA
17/11/21
Marcus Dupont-Besnard

L'expression génétique de leurs couleurs se précise

La plupart des abeilles européennes sont jaunes et noires, mais dans d’autres régions du monde, on trouve d’autres couleurs. D’où viennent les couleurs des abeilles et des bourdons ?
On se représente en général les abeilles et les bourdons avec un abdomen jaune et noir. Mais il existe en réalité bien davantage de motifs en fonction des espèces… selon la région du monde qu’elles habitent. Comment expliquer les couleurs des abeilles, leurs variations d’une région à l’autre ?

Une équipe de recherche s’est penchée sur les explications génétiques, dans une étude publiée dans Genome Biology and Evolution. On savait déjà, grâce à de précédents travaux, qu’un gène de type Hox appelé Abdominal-B était à l’origine des variations de couleur sur l’abdomen de ces insectes. Mais cette nouvelle étude identifie plus précisément les gènes qui génèrent la pigmentation des abeilles.

Pour ce faire, l’équipe s’est penchée sur une espèce de bourdon : le Bombus melanopygus (ou bourdon à croupion orange — car son croupion est vraiment orange).

Le mimétisme des abeilles
L’équipe de recherche a découvert que le gène Hox précédemment identifié était relié non pas à une seule enzyme de couleur, mais à plusieurs gènes de mélanines (pigments biologiques), notamment deux « bouquets » de gènes en particulier : l’un exprimant de l’eumélanine, exprimant de la pigmentation noire, l’autre de la phéomélanine, exprimant des couleurs jaune, orange, rouge.

« En comprenant ces gènes, nous avons maintenant la possibilité d’examiner tant d’espèces d’abeilles différentes et la façon dont elles se sont diversifiées. Donc, ce n’est pas un cas où une fois que nous avons terminé ici, nous avons totalement fini. Étant donné la diversité de ces abeilles, il y a tellement de choses qui peuvent être faites avec cette découverte. Ce n’est que la première étape », expliquent les scientifiques.

Cette découverte ne répond qu’en partie au « pourquoi ». Lorsque des espèces d’abeilles et de bourdons sont de couleur jaune et noire, c’est parce que ces gènes s’expriment. Certes, mais alors pourquoi ces couleurs spécifiquement se sont-elles généralisées ?

Comme l’expliquent les auteurs dans un commentaire de leur étude, il s’agit d’un phénomène appelé mimétisme, qui advient au cours de l’évolution. Plusieurs espèces d’abeilles vont être amenées à adopter les mêmes couleurs que les espèces congénères dans la région qu’elles partagent. « Lorsque plusieurs espèces imitent les motifs de leurs congénères, elles avertissent les prédateurs potentiels d’une région donnée que, lorsqu’ils voient ces couleurs, une piqûre douloureuse peut s’ensuivre. »

Ce mimétisme s’explique effectivement par une nécessaire protection. D’ailleurs, les espèces mimétiques ne sont pas toujours dangereuses par nature, et ce mimétisme sert à faire croire aux prédateurs qu’elles le sont, adoptant la couleur de proies qui sont vraiment dangereuses. Or, c’est bien souvent les couleurs solaires, du jaune au rouge, qui expriment ce danger, à l’image des guêpes pour ce type d’insectes.

Si dans une région comme l’Europe de l’Ouest, les abeilles adoptent presque toutes ces mêmes couleurs jaunes et noires, à l’image des guêpes qui ont ces couleurs, on trouve d’autres régions du monde où les abeilles vont partager d’autres palettes, avec davantage de noir, d’orange, de rouge ou de blanc par exemple, en partageant un motif mimétique différent d’alerte commune.


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Chez les abeilles aussi, un plus gros cerveau permet de mieux apprendre

Sciences & avenir - Par Loïc Chauveau le 23.08.2021 à 06h00

Déjà prouvé chez les mammifères et les oiseaux, le lien entre la grosseur du cerveau et la capacité à apprendre vient d’être démontré chez les abeilles.

Un cerveau plus gros est synonyme de meilleures performances cognitives. Cela est désormais bien établi par de nombreuses études chez les mammifères et les oiseaux, des espèces où l’évaluation des capacités à apprendre et le poids du cerveau n’est déjà pas simple. Mais qu’en est-il chez les invertébrés ? Du fait de la taille des insectes et du volume d’un cerveau en rapport avec celle-ci, la tâche est plus difficile. Le CREAF, centre public d’études en écologie de l’Université de Barcelone, s’y est attelé. Ses résultats publiés dans le Royal society open science démontrent que les abeilles sauvages ne font pas exception à ce qui ressemble de plus en plus à une règle.

Les chercheurs catalans ont évité l’abeille domestique Apis mellifera déjà bien étudiée et où il a été montré de grandes capacités cognitives et adaptatives malgré la taille de son cerveau. Leurs travaux ont porté sur des espèces solitaires d’abeilles sauvages où des travaux antérieurs ont montré des différences de taille de cet organe entre espèces et entre individus de la même espèce. On sait ainsi que les abeilles qui se nourrissent sur des plantes spécifiques ont un plus gros cerveau que les généralistes ce qui s’expliquerait par le fait que la recherche d’un aliment plus rare implique une meilleure aptitude à comprendre son environnement, à s’y déplacer et à repérer les lieux particuliers de nourrissage.

Les abeilles ont appris à associer une couleur et une récompense
ANDRENES. Les chercheurs ont capturé dans les espaces naturels et les jardins d’Andalousie 120 spécimens provenant de 16 espèces différentes. Ces insectes ont été apportés en laboratoire où on les a entraînés à un test dans les trois heures après leur capture. Dans une première phase "d’entrainement", les abeilles ont été confronté à un labyrinthe à deux branches associant une couleur –bleu ou jaune que reconnaissent bien les abeilles- à du sucre ou de l’eau. Une fois qu'elles ont appris à associer une couleur à la récompense sucrée, elles ont répété l’exercice dix minutes plus tard afin de vérifier que l’association avait bien été comprise et pour mesurer la vitesse d’exécution du test par le "cobaye". Quatre familles ont réussi l’examen : les Apidae, les Megachilidae, les Andrenidae et les Halietidae. A noter que les individus des trois genres Anthophora, Eucera et Xylocopa n’ont pas réagi à cette procédure et ont dû être écartés de l’expérience.

Dans une seconde phase, les abeilles ont été anesthésiées. Leur tête a été coupée, le cerveau extrait et fixé dans une solution afin d’être pesé sur une microbalance précise au microgramme. Cette première phase a montré de grandes différences de poids entre espèces. Ainsi, les andrènes ou abeilles des sables présentes sur les sols sableux partout en France et en Espagne, battent-elles tous les records et présentent même un cerveau plus lourd que celui de l’abeille domestique. Surtout, celles dont le cerveau est le plus lourd sont celles qui ont le mieux réussi le test du labyrinthe. Si les représentants des 16 espèces ont bien réussi l’épreuve, ceux présentant les plus gros cerveaux ont été les plus rapides et les plus efficaces pour associer une couleur avec une récompense.


Est-ce que ces différences de capacités cognitives peuvent expliquer que parmi les 20.000 espèces d’abeilles présentes dans le monde certaines sont en danger d’extinction alors que d’autres prolifèrent ? La question reste ouverte. "Pour survivre, les abeilles doivent s’adapter à des paysages complexes et changeants pour localiser les fleurs et les sites favorables pour les nids. Aussi, si celles ayant les plus gros cerveaux ont des capacités cognitives plus importantes, nous savons qu’elles seront celles qui s’adapteront le mieux à l’urbanisation ou aux changements de condition de vie" avance ainsi Ignasi Bartomeus, chercheur à la station biologique de Donana en Andalousie dans le communiqué du CREAF.

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Biodiversité : pourquoi il faut aller voir « Être avec les abeilles » au cinéma

Par Nathalie Mayer - Journaliste à FUTURA PLANETE
Publié le 30/08/2021

« Être avec les abeilles », c’est une heure trente d’émerveillement. Une heure trente pour tout savoir sur ces formidables insectes pollinisateurs. Pour apprendre à les aimer un peu plus. Et à travailler avec la nature pour préserver cette biodiversité qui nous fait vivre Une heure trente pour commencer à changer le monde... © Jupiter Films

Partout dans le monde, les abeilles se meurent. Mais que savons-nous vraiment d'elles ? Le documentaire Être avec les abeilles, qui sort en salles le 1er septembre, est un excellent moyen de le vérifier. Futura l'a vu pour vous et vous l'assure, cette heure et demie que vous y passerez ne sera pas perdue !

Lorsqu'il est question de sauvegarde de la biodiversité et, plus généralement, de protection de l'environnement, il y a les documentaires qui jouent sur des émotions négatives. La peur, l'angoisse, le sentiment d'urgence. Il y en a beaucoup. Et puis, il y a Être avec les abeilles. Ce film étonnant qui vous tend la main et murmure à votre oreille des histoires parfois mystérieuses, toujours merveilleuses. Ce film qui, avec la plus grande simplicité du monde, raconte pourquoi et comment il est possible de faire autrement.

Le saviez-vous ?
Les abeilles et avec elles tous les insectes — et plus largement les animaux — pollinisateurs jouent un rôle essentiel dans les écosystèmes. Environ 75 % des plantes à fleurs comptent sur eux pour se reproduire. Et parmi elles, tout de même 35 % d’espèces que nous cultivons pour les manger.

Car, faut-il le rappeler, depuis quelques années, les abeilles disparaissent. Victimes, elles aussi, de notre désinvolture. Elles meurent au contact des pesticides. Mais elles souffrent aussi -- et peut-être même, surtout -- d'être privées de fleurs des champs et d'autres arbres mellifères à butiner. Une problématique prise à bras le corps par cette dame que l'on découvre dans le film. Une abeille morte dans une main et une fleur sauvage dans l'autre, elle raconte comment elle a expliqué à des décideurs qu'elle tenait là à la fois le problème... et la solution ! Une bien belle manière de les convaincre de planter des fleurs sauvages le long des autoroutes de la région.

Concernant les abeilles domestiques, les pratiques mêmes des apiculteurs ont fragilisé les populations, nous rappelle Être avec les abeilles. Cette obsession de produire toujours plus du miel. En oubliant malheureusement que sans conscience, notre intelligence n'est pas grand-chose. Les apiculteurs seraient-ils un brin schizophrènes ? Combattant d'un côté l'utilisation irraisonnée de pesticides par les agriculteurs et introduisant de l'autre dans leurs propres ruches, pas moins 70 % des produits néfastes pour leurs abeilles.

Des solutions existent
Mais en la matière, il n'y a pas de fatalité. Prenant l'exemple du varroa, des neuroscientifiques, des médecins, des botanistes, des biologistes, des entomologistes et des agronomes nous l'assurent. Il existe des solutions contre ce petit parasite qui vit sur le dos des abeilles, leur inoculant des virus mortels. Les colonies sauvages les ont trouvées. Elles ont appris tout un tas de nouvelles techniques et de nouveaux comportements qui leur ont permis de les rendre plus résistantes. Comme le fait de désoperculer régulièrement leurs couvains -- comprenez leurs œufs, leurs larves et leurs nymphes. Car c'est dans des couvains scellés que le varroa se reproduit.

Attention, ne vous y trompez pas, Être avec les abeilles ne cherche pas à culpabiliser. Juste à recréer le début de ce lien précieux entre la nature et les Hommes. Un lien qui s'est peu à peu rompu au fil des siècles. Et qu'il est encore possible de renouer. Pour éviter le désastre. Car des pistes existent. La recherche détient aujourd'hui beaucoup de données utiles en la matière.


Au contact des abeilles sauvages, j’ai compris que je me trompais.
« Quand je suis devenu apiculteur, je pensais bien faire. Je pensais que ce que je faisais était normal. Puis un jour, je me suis mis à observer ce que faisaient les abeilles sauvages. J'ai compris que je me trompais. Tout simplement », raconte encore un homme dans le film, bouleversé. Et s'il était là, l'enseignement des abeilles ? Comme ce précepte indien qui recommande d'apprendre à considérer l'effet que chacune de nos actions aura sur les sept générations à venir...

Pour savoir où voir Être avec les abeilles ou même pour organiser une projection, c'est ici.

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POUR LES GOURMANDS
LA RECETTE DU NOUGAT AU MIEL
Pour 6.

Préchauffez le four à 150°C. (th. 5).
Sur la plaque du four, étalez 200 g d’amandes entières et faites-les torréfier 15 min au four. Au robot, fouettez 1 blanc d’œuf en neige ferme avec 15 g de sucre. Faites chauffer 125 g de miel dans une casserole jusqu’à ce que la température atteigne 140°C. (utilisez un thermomètre à pâtisserie). Versez le miel sur la meringue tout en continuant à fouetter. Pendant ce temps, faites fondre 200 g de sucre et 45 g de glucose dans une autre casserole jusqu’à la température de 145°C. Versez le sirop immédiatement sur la meringue en fouettant à vitesse maximum. Incorporez alors les amandes et versez la préparation sur une plaque recouverte de feuilles de papier azyme. Recouvrez de feuilles de papier azyme et étalez la préparation pour lui donner une épaisseur uniforme. Posez une autre plaque sur le nougat, et laissez-le refroidir 12 h environ avant de le découper.

source : FEMME ACTUELLE
Publié le 31/03/20

GLACE AUX NOUGATS DE MONTÉLIMAR

Osez la crème glacée faite maison ! Celle-ci, réalisée à partir de nougats de Montélimar sera crémeuse en bouche et tellement régressive que personne ne résistera.

Ingrédients
Pour 4 personnes

360 g de crème fleurette
300 g de nougat de Montélimar
180 g de sucre en poudre
60 cl de lait entier
6 jaunes d'oeuf
1 gousse de vanille

Préparation : 25 min
Cuisson : 5 min
Attente : 24 h

Etape 1
Dans une casserole, portez le lait à frémissements avec la gousse de vanille fendue et grattée. Hachez le nougat. Réservez-en 100 g et faites fondre le reste le lait chaud.

Etape 2
Dans une jatte, fouettez les jaunes d’oeuf avec le sucre en poudre. Versez délicatement le lait aux nougats, fouettez puis remettez le tout dans la casserole. À feu doux, remuez la préparation jusqu’à ce qu’elle nappe le dos d’une cuillère en bois. Hors du feu, versez la crème fleurette. Déposez la préparation dans une boîte hermétique, puis réservez au réfrigérateur pendant 12h.

Etape 3
Versez la crème dans le bac de la turbine à glace. Faites turbiner 20 minutes, ajoutez les éclats de nougats puis poursuivez le turbinage 10 min. Versez la crème glacée dans un moule, réservez au moins 12 h au congélateur avant de servir.

Par Lucie Dauchy

source : FEMME ACTUELLE
Publié le 15/09/14
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