Err

Tout pour l'apiculture
Si vous ne parvenez pas à afficher cette lettre d'information correctement, cliquez ici pour l'ouvrir dans votre navigateur.
Lettre d'information n° 87
Juin 2021
API NEWS

LES TRAVAUX DU MOIS
Ce mois de juin représente la fin du Printemps et le début de l’été.
Quelles sont les activités à effectuer au rucher ?

- Effectuer les transhumances, pour obtenir des miels spécifiques
- Effectuer une récolte partielle, pour le miel de Printemps par exemple. Il est important de surveiller le remplissage des hausses toutes les semaines, éventuellement en soupesant la ruche, pour éviter d'ouvrir les ruches de manière intempestive. Si besoin, n’hésitez pas à rajouter une deuxième hausse.
- Dans sa miellerie, bien faire le tri des divers miels, les stocker dans de bonnes conditions d’hygiène et de conservation.
- Au rucher, nettoyer toute trace de miel pour éviter le risque de pillage. Près des ruches, les entrées seront dégagées des hautes herbes qui pourraient gêner le vol des butineuses chargées.
- Continuer à amplifier l'élevage des reines : Juin est le mois le plus favorable. Constituer des nucléï de conservation pour avoir de jeunes reines de remplacement à la prochaine saison.
- Produire un peu de pollen
- Stimuler l’activité des essaims capturés récemment en leur nourrissant au sirop. Certains apiculteurs éliminent la reine (qui est la vieille reine) une quinzaine de jours après la capture de l'essaim. Les abeilles entreprendront ainsi un élevage royal.

Rappel aux débutants :
Une intervention au rucher se fait par temps ensoleillé, une température supérieure à 15°C, pas de vent et en milieu d’après-midi.

EXTRAIT DE "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
En savoir plus en lisant "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
FÊTE DES PÈRES
DIMANCHE 20 JUIN
VAPORISATEUR APISOLIS CHEQUE CADEAU
60 €
TEESHIRT APICULTEUR FRANCAIS
MODELE ABEILLE - TAILLE L
TEESHIRT APICULTEUR FRANCAIS
MODELE APICULTEUR - TAILLE XL
ATELIER PEDAGOGIQUE
"ELEVAGE DE REINES"
26 JUIN
165 € TTC 60 € TTC 19.90 € TTC 19.90 € TTC 69 € TTC
NOUVEAUTÉS
CHARIOT LÈVE-CADRES MANUEL LEGA JEU DE CONSTRUCTION EN BOIS JEUJURA
"LA MAISON DU MIEL"
SAVON TRAITANT
BALLOT-FLURIN
BAIN DE BOUCHE
BALLOT-FLURIN
1 135.00 € TTC 21.90 € TTC 7.33 € TTC 15.13 € TTC
ATELIERS PEDAGOGIQUES
ATELIER DU SAMEDI 5 JUIN

RESTE 8 PLACES
ATELIER DU SAMEDI 12 JUIN

RESTE 8 PLACES
ATELIER DU SAMEDI 19 JUIN

RESTE 8 PLACES
ATELIER DU SAMEDI 26 JUIN

RESTE 8 PLACES
69.00 € TTC 69.00 € TTC 69.00 € TTC 69.00 € TTC
INFORMATIONS DE L'ADA ET DES ADA REGIONAUX
L’ITSAP-Institut de l’abeille et le GPGR réalisent une étude sur les enjeux de la traçabilité des produits de la ruche, plus particulièrement le miel et la gelée royale. L’objectif est de mieux connaître les pratiques, les difficultés ainsi que les attentes des différents acteurs de la filière concernant la traçabilité de ces produits.

REPONDEZ AU QUESTIONNAIRE EN CLIQUANT ICI
DiaToxBEE (Diagnostic Toxico-logique pour les aBEillEs) est un projet d’interface qui permettra aux acteurs du monde apicole, apiculteurs, ciriers, industriels et scientifiques, d'évaluer le risque lié à la contamination, par des polluants, des produits de la ruche, des abeilles ou de leur alimentation.

A lire sur le blog de l'ITSAP.
Les 1ers résultats d'une étude conduite entre 2016 et 2019 indiquent qu'un piégeage ciblé autour du rucher et renouvelé chaque année permet de faire diminuer le nombre de nids à proximité. L'ADANA a contribué à cette étude. Lire l'information adressée aux adhérents et accéder aux documents de synthèse.

CLIQUEZ ICI
VU DANS LA PRESSE OU SUR LE WEB ...
  • Quand l'abeille noire donne la voie vers une apiculture plus naturelle

    par France Inter publié le 16 mai 2021 à 8h21

    Elles font figure d'exception d'où la conservation d'un système de reproduction plus sauvage et naturel. Les abeilles noires ont su développer des moyens de résistance, d'autonomie, d'adaptation formidables qui permettraient d'allier méthodes apicoles conventionnelles et des usages plus traditionnels sinon biologiques.

    Lorsqu'on parle d'abeilles, au sens large on sous-entend la superfamille des apoïdes qui comporte environ 10 000 espèces à l'échelle mondiale et environ 1000 espèces en France. Parmi elles, une espèce bien singulière, l'abeille noire, présente des qualités remarquables à un moment où, pourtant, la filière apicole constate un effondrement alarmant des insectes pollinisateurs.

    Le caractère plus sauvage des abeilles noires, comparé à ses autres congénères, leur a permis de développer des moyens de résistance et d'adaptation formidables qui doivent interroger les méthodes apicoles conventionnelles actuelles. C'est le travail qu'ont mené dans les Cévennes l'apiculteur Yves Elie et le généticien et évolutionniste Lionel Garnery, invités dans Grand Bien vous Fasse.

    Après avoir présenté les caractères naturels exceptionnels de l'abeille noire, ils expliquent combien il est plus que jamais essentiel "de penser des modes d'apiculture adaptés sur la biologie naturelle de ces abeilles noires, dans le but d'œuvrer pour la transition écologique, et protéger à plus forte raison tous les pollinisateurs sauvages".

    Des abeilles qui ont beaucoup à nous apprendre
    Lionel Garnery : "C'est la seule abeille mellifère, endémique, sauvage et naturelle en France comme en Europe. Cette abeille si particulière a été façonnée par le froid polaire et a nourri en miel des générations d'Européens. C'est l'une des plus anciennes abeilles sur notre territoire, et une des premières qui a colonisé son aire de répartition. C'est l'abeille originelle.

    Elle est unique en raison de son adaptation au milieu, et présente une diversité remarquable puisqu'on observe entre 26 et 29 races géographiques et que chacune est adaptée à un écosystème différent. Elle est adaptée au climat tempéré froid et à la flore ouest-européenne, aux conditions rudes de façon générale car douée de la capacité à capter le rayonnement du soleil pour se réchauffer dans les climats froids. Cette couleur noire traduit, en premier lieu, son caractère adaptatif".

    Yves Elie : "Elle est notre abeille tutélaire et représente plus que jamais cette voie d'alliance privilégiée que l'homme moderne devrait entretenir naturellement avec le monde des pollinisateurs en général".

    CLIQUEZ ICI POUR LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE

  • Voici la première carte qui montre la grande diversité des abeilles dans le monde

    Il existe plus de 20.000 espèces d'abeilles mais les données sur leur répartition dans le monde sont plutôt rares. En novembre 2020, des chercheurs ont alors publié la première carte qui illustre la grande diversité des espèces d’abeilles à l'échelle mondiale, dans la revue Current Biology. Il s'agit d'une première étape importante dans l'évaluation de la répartition et des déclins potentiels des populations d'abeilles. Pour créer cette carte, Ascher, Orr, Hughes et leurs collègues de l'Université nationale de Singapour ont analysé et compilé des données concernant la localisation des différentes espèces. Elles sont accessibles en ligne sur le portail Discover Life.

    À l'occasion de la Journée mondiale des abeilles, Futura vous propose d'observer la répartition mondiale des plus de 20.000 espèces d'abeilles connues à ce jour grâce à une carte élaborée en 2020 par des chercheurs de l'Université nationale de Singapour. Devinez dans quel pays se trouve la plus grande diversité d'abeilles ?

    CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA CARTE ET L'ARTICLE

  • « Une terre sans abeilles ? », sur Ushuaïa TV :
    la terre bourdonne d’idées pour sauver ses ouvrières de la pollinisation

    LE MONDE
    Par Catherine Pacary
    Publié le 20 mai 2021 à 19h00

    « Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, il ne resterait plus que quatre ans à l’homme, aurait affirmé Albert Einstein (1879-1955). Plus d’abeilles, plus de pollinisation, plus de plantes, plus d’animaux, plus d’homme. » La véracité de la citation n’est pas confirmée. La prophétie, elle, se précise. « Si les abeilles venaient à disparaître, on aurait de la nourriture garantie seulement pour trois ans », assure ainsi aujourd’hui Rosa Restrepo, conservatrice d’abeilles à Santuario, en Colombie, dans le percutant documentaire diffusé en cette Journée mondiale des abeilles.


    Rien qu’en France, 56 millions de ces hyménoptères meurent chaque jour, empoisonnés par les pesticides, herbicides, insecticides et autres néonicotinoïdes – dont une cuillerée peut tuer 1 milliard d’abeilles, souligne le commentaire. Face à l’urgence, l’intérêt du film est d’inventorier les solutions mises en œuvre par des apiculteurs et des scientifiques de par le monde. Et ce, au rythme du bourdonnement des insectes et de la musique particulièrement adaptée de David Kern.

    Certaines de ces solutions font appel aux coutumes ancestrales. Comme la transhumance, présentée par Maurice Morlière, apiculteur des Hautes-Pyrénées qui exploite 1 000 ruches pour maintenir la production établie par son père, une génération auparavant, avec 200 ruches.

    A beaucoup plus grande échelle, le cas de la Californie et de son million d’hectares d’amandiers est périodiquement cité. Pour en assurer la pollinisation, les producteurs, soutenus par les grandes sociétés de l’agrochimie, font venir chaque année 2 milliards de ruches, soit le tiers des abeilles du pays. Les apiculteurs-loueurs iront ensuite proposer les services de leurs abeilles au Texas, puis dans le Dakota du Nord. Un transport que l’industrie de l’amande paye 400 millions de dollars par an.

    CLIQUEZ ICI POUR LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE ET VOIR LA VIDEO ANNONCANT LE REPORTAGE

  • Angelina Jolie recouverte d’abeilles pour "National Geographic"

    Paris Match | Publié le 20/05/2021 à 16h57 |Mis à jour le 24/05/2021 à 12h10

    L'actrice de 45 ans a posé avec des insectes pour la Journée mondiale des abeilles avant d'expliquer son combat pour la préservation de ces pollinisateurs essentiels pour la biodiversité.

    Angelina Jolie continue de défendre ce qui lui est cher sur notre planète. Pour attirer l’attention sur la Journée mondiale des abeilles, qui se déroule ce 20 mai, l’actrice de 45 ans a posé pour le magazine «National Geographic» en compagnie de quelques ouvrières d’une ruche. Sur les photos signées Dan Winters, on peut observer l’émissaire du haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés rester de marbre tandis que les insectes viennent se poser sur sa peau nue et même sous sa robe. «Je vais réciter mes pratiques bouddhistes, mais c'était juste agréable d'être connecté à ces belles créatures. […] Il faut être vraiment immobile, ce qui n'est pas facile pour moi», a-t-elle réagi. Pour réaliser le cliché, le photographe, apiculteur amateur, s'est inspiré d'un célèbre portrait d’un apiculteur californien chauve en 1981, pour lequel l’homme avait été recouvert d’abeilles.

    La situation de ces pollinisateurs vient s’ajouter à la longue liste des causes défendues par Angelina Jolie. Après le shooting, lors d’une interview au magazine américain, celle qui a récemment été nommée «marraine» pour Women for Bees a expliqué pourquoi elle débutait ce nouveau combat. «Un grand nombre de personnes à risque sont déplacées à cause du changement climatique ou des guerres qui ont pu être déclenchées par une lutte pour la diminution des ressources. Avoir son environnement détruit, son gagne-pain dépouillé, sont l'unes des nombreuses raisons pour lesquelles les gens migrent, se déplacent ou se battent. Tout cela est interconnecté.», a-t-elle confié, avant de continuer: «Les pollinisateurs sont bien sûr extrêmement vitaux pour notre vie et notre environnement. Et nous devons donc comprendre scientifiquement ce qu'il se passe si nous les perdons». Avec cette nouvelle initiative, Angelina Jolie veut prendre le problème à l’envers : trouver des solutions avant d’attendre le déclin de ces animaux.

    CLIQUER ICI POUR LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE ET VOIR LA PHOTO

  • Pour voir plus d'articles sur l'actualité du monde apicole, n'hésitez pas à nous suivre sur Facebook !
    Nouveau ! Suivez-nous aussi sur Instagram
    api_distribution
    POUR LES GOURMANDS
    La recette de la brick aux amandes et au miel
    Les ingrédients pour 4 personnes :

    10 feuilles de brick
    150 g de sucre en poudre
    250 g de poudre d’amande
    1 cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger
    1 œuf
    1 zeste d’orange
    huile de friture

    Pour le sirop :
    1 verre d’eau
    1/2 verre de sucre
    1 verre de miel

    Les étapes de préparation :
    Dorez la poudre d’amande dans une sauteuse.
    Dans un grand bol, combinez la poudre d’amande dorée et le sucre. Incorporez la fleur d’oranger, les zestes d’orange finement râpées et l’œuf pour obtenir une pâte.
    Avec cette pâte, réalisez de petites boulettes.
    Découpez les feuilles de brick en bandes de 5 cm.
    Disposez une boulette en bas de chaque bande de feuille de brick.
    Pliez en triangle. Tranchez ce qui dépasse et collez le bord avec un peu d’eau.
    Placez les triangles dans un plat recouvert d'un papier sulfurisé. Couvrez les triangles avec un torchon bien humidifié pour ne pas sécher les feuilles de brick.
    Chauffez de l’huile sur feu très doux, puis dorez les briques en les tenant dans la friture avec une pince.
    Faites-les frire, puis essorez-les sur du papier absorbant.
    Dans une casserole, mélangez le miel, le sucre et l’eau. Laissez cuire le sirop pendant 15 minutes.
    Lorsque les bricks sont cuites, trempez-les dans le sirop chaud puis égouttez-les.

    © FEMME ACTUELLE
    cliquez ici pour voir la recette
    VOUS AIMEZ NOS ACTUS, NOS INFOS, NOS NOUVEAUTÉS ?
    www.apidistribution.fr
    05 56 39 75 14
    #UNSUBSCRIBE#