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Tout pour l'apiculture
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Lettre d'information n° 86
Mai 2021
API NEWS


CATALOGUE API DISTRIBUTION 2021/2022
SORTIE PREVUE FIN MAI
Si vous ne l'avez pas déjà fait...

Dans le cadre de notre démarche écologique et afin de limiter les impressions et les envois inutiles, nous souhaitons savoir comment vous souhaiteriez recevoir notre prochain catalogue. Vos réponses sont importantes pour nous, merci d'avance du temps que vous y consacrerez. Cela vous prendra 30 secondes.

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LES TRAVAUX DU MOIS
Dans la ruche...

En ce mois de mai, attention aux éventuels risques de froid, à la période des "Saints de Glace" (11-12-13 mai) qui peuvent survenir bien avant la douceur de mai.
Côté butinage, nos colonies se délecteront des aubépines, ronces, framboisiers, sureau, thym, fleurs et bien sûr acacia, entre autres.

Dans la ruche, les premières miellées de mai donnent les premières récoltes.
Attention surtout à l'essaimage, qui nécessite une surveillance accrue.

Au rucher...

- Prévenir, prévoir et gérer l'essaimage
- Ajouter des cires
- Poser la seconde hausse
- Récolter la propolis
- Diviser les ruches dites "divisibles"
- S'assurer des traitements entrepris par les agriculteurs du coin, afin de déplacer ses ruches si nécessaire

En savoir plus en lisant "L'Apiculture mois par mois" de Jean Riondet
PROMOTIONS
DU 1ER AU 31 MAI
EXTRACTEUR LEGA MICRO 3 CADRES LANG
OU 3 CADRES HAUSSE DADANT
EXTRACTEUR LEGA MOINEAU
4 CADRES LANGSTROTH
EXTRACTEUR COMBINE 4 CADRES
DE HAUSSE DADANT+ TAMIS
ET MATURATEUR
EXTRACTEUR TETRAS MIXTE LEGA
9 CADRES DE HAUSSE DADANT
CAGE INOX/HELICOIDALE
EXTRACTEUR TETRAS MIXTE LEGA
9 CADRES DE HAUSSE DADANT
CAGE RESINE
330 € TTC560 € TTC370 € TTC635 € TTC480 € TTC
264 € TTC 448 € TTC 296 € TTC 508 € TTC 384 € TTC
NOUVEAUTÉS
GRILLE A REINE PLASTIQUE
POUR RUCHETTE 6 CADRES
COMBUSTIBLE
APICLOUD 80 LITRES
RACLOIR CORNE
DEMI-LUNE 16CM
3.60 € TTC 29.50 € TTC 3.50 € TTC
ATELIERS PEDAGOGIQUES
ATELIER DU SAMEDI 8 MAI

RESTE 1 PLACE
ATELIER DU SAMEDI 15 MAI

RESTE 5 PLACES
ATELIER DU SAMEDI 29 MAI

RESTE 5 PLACES
ATELIER DU SAMEDI 5 JUIN

RESTE 8 PLACES
69.00 € TTC 69.00 € TTC 69.00 € TTC 69.00 € TTC
INFORMATIONS DE L'ADA ET DES ADA REGIONAUX
Programme de formations 2021-2022

Nous avons besoin de vos avis pour construire un programme de formation qui réponde à vos attentes !

Retrouvez l'enquête EN CLIQUANT ICI
L'enquête de mortalité hivernale 2020-2021 est ouverte !
Cette année l'ADA Occitanie mutualise son enquête avec la PESA (Plateforme nationale d’épidémio-surveillance en santé animale).

CLIQUEZ ICI POUR + D'INFOS
Observatoire de la production de miel et de gelée royale française

Rappel ! Plus que quelques semaines pour répondre au questionnaire sur la récolte 2020.


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La Commission a présenté un plan d'action pour le développement de la production biologique. Chaque état membre est incité à prévoir dans son plan stratégique national (PSN) des budgets adéquats pour les aides au maintien et à la conversion en agriculture biologique, ainsi que pour les écorégimes.

***EN ANGLAIS***

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VU DANS LA PRESSE OU SUR LE WEB ...
  • Vol de ruches : le phénomène prend de l’ampleur entre apiculteurs

    Depuis quelques années, les professionnels de l’abeille font face à un nouveau fléau : le vol de ruches. La faute à la surmortalité des abeilles et la hausse du prix des essaims.
    Résultat : les apiculteurs investissent dans des systèmes de sécurité pour limiter la casse.

    C’était il y a un an, quasiment jour pour jour. Mathieu Picavet, apiculteur dans les Hautes-Alpes, reçoit un coup de fil de l’Office national des forêts. Il apprend que quatre-vingt-seize de ses ruches ont disparu dans le Var. Le tiers de sa production. « Le plus traumatisant, c’est de se dire qu’on a été volé par l’un des nôtres », lâche le sudiste encore marqué par l’événement.

    Depuis quelques années, les vols de ruches se multiplient un peu partout en France. Dans le Var, la Somme, le Morbihan ou encore les Côtes-d’Armor. Personne n’est épargné. La raison de ces larcins ? Ils s’expliquent par deux phénomènes concomitants.

    « Vous avez de la mortalité, vous piquez celles du voisin »
    D’un côté, les apiculteurs font face à une surmortalité de leurs abeilles. « Environ 30-35 % de cheptel », détaille Franck Alétru, président du syndicat national d’apiculture, installé en Vendée. Dans le même temps, les essaims voient leur prix grimper en flèche. « On les payait 100 € il y a deux ans. Aujourd’hui, il faut compter 180 € », illustre Mathieu Picavet.

    Résultat : certains apiculteurs finissent par se voler entre eux. « C’est simple. Vous avez de la mortalité dans vos ruches et pour repeupler, vous piquez celles du voisin », résume le syndicaliste.

    D’autant que voler des abeilles reste assez simple. « Ce n’est pas comme une vache avec un numéro. Et puis, on les laisse souvent dans des endroits accessibles à tous », avoue Stéphane Balesdent, victime d’un vol d’une quarantaine de ruches le mois dernier dans la Somme.

    Les apiculteurs s’équipent contre les vols
    Pour faire face à cette recrudescence de larcins, les professionnels de l’abeille s’équipent : système de vidéosurveillance, marquage des ruches au laser ou encore traceurs GPS.

    « Plusieurs enquêtes ont été résolues grâce à nos traceurs GPS », assure Christian Lubat, patron de Beeguard, une entreprise spécialisée dans les ruches connectées. En pratique, ces appareils servent à surveiller l’activité des abeilles, mais détectent aussi les mouvements des ruches. Le professionnel reçoit alors un SMS d’alerte et peut suivre sa ruche en direct via une application.

    600 € par ruche dérobée
    Un système coûteux pour les apiculteurs, plus d’une centaine d’euros par an, mais qui peut aussi éviter de grosses pertes. « Les assurances prennent en compte la valeur de l’essaim, pas la perte d’activité, l’investissement ou la production de l’année suivante », rappelle Christian Lubat. Le patron de Beeguard estime ainsi que le vol d’une ruche coûte près de 600 € à un apiculteur.

    De son côté, la gendarmerie nationale n’observe « pas ce phénomène sur l’ensemble du territoire ». Pour Franck Alétru, cela s’explique par l’absence de dépôt de plainte systématique des professionnels. C’est pourquoi, en Occitanie, après le vol de 157 ruches début mars, le syndicat régional a créé une page pour « rassembler les photos des ruches volées » afin de traquer leur revente sur Internet. Un moyen, aussi, de mieux prévenir ces vols entre apiculteurs.

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  • EN CHARENTE, LES ABEILLES GRELOTTENT ET LES APICULTEURS TREMBLENT
    Par Fabien Nouvène, publié le 17 avril 2021 à 18h30.

    Les vignes ne sont pas les seules à souffrir du froid qui engourdit la Charente depuis deux semaines. Les températures hivernales paralysent aussi les ruches. Les abeilles travaillent au ralenti et les apiculteurs claquent des dents.

    Moins de 12 ou 13 °C, vent fort, ciel nuageux… Tout ce que les abeilles détestent. "Elles sont au chômage technique", résume Maxime Monteil, apiculteur à Charras. Josiane Vinuesa, présidente de l’association Société charentaise d’apiculture, l’a constaté hier après-midi. Seules quelques centaines d’abeilles vont et viennent autour de ses ruches à Saint-Yrieix. "Il devrait y avoir un rideau d’abeilles", observe l’apicultrice amateur.

    Résultat immédiat: les insectes butinent moins, la production ralentit. "Dès que les températures remonteront, elles auront des journées bien chargées et rattraperont le retard", espère Josiane Vinuesa. En partie du moins. "En période de miellée (période de production Ndlr.), il y a un pic d’activité pendant 10 jours, ça ne se récupère pas comme ça", nuance Maxime Monteil. "Il n’y a rien de magique là-dedans", abonde Franck Galoger, éleveur d’abeilles à Mansle.

    Des conséquences ressenties jusqu’en mai?

    Surtout, le pire est peut-être à venir. "Les acacias ont gelé", s’alarme Maxime Monteil, dont un tiers de l’activité repose sur cette essence. Conséquence: les arbres fleuriront peu et délivreront moins de nectar aux butineuses. "On risque une grosse disette en mai, craint le professionnel. Ça ne reprendra qu’en juin, avec les châtaigniers." Les pertes pourraient représenter plusieurs dizaines de kilos de miel. "Une semaine perdue, c’est 5 à 10 kilos en moins par ruche", calcule celui dont l’exploitation commercialise deux tonnes de miel par an.

    Franck Galoger est plus serein. Ses abeilles noires, rustiques, tiennent mieux le coup. Par ailleurs, ce paysan installé en plaine profite de cinq miellées, contre trois pour son confrère de Charras. La perte des acacias l’impactera forcément moins.

    Pour l’heure, la météo prévoit des températures plus clémentes dès lundi. Les abeilles vont pouvoir se dégourdir les ailes.

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  • Rencontre avec l'apiculteur picard Laurent Pallenchier de l'Abeille de Picardie

    Du miel picard mais aussi des gâteaux, des bonbons et bientôt aussi une bière au miel !

    C'est à Thennes que nous avons rencontré Laurent Pallenchier, apiculteur passionné qui nous a parlé de son miel picard, de ses 200 ruches et des divers produits transformés directement sur l'exploitation.

    Des pots de miel, des bonbons au miel, des gâteaux au miel mais aussi et surtout de la bière au miel ! Alors pour le moment les essais sont en train d'être réalisés avec La Brasserie de la Somme ! "Il faudra compter à peut près 6 mois avant qu'elle sorte" précise Laurent.

    Pour se procurer ses merveilles au miel, il existe une boutique directement sur l'exploitation, à Thennes et un service de livraison est possible dans un "petit rayon autour de l'exploitation".

    A noter que des cours d'apiculture seront possibles lorsque la crise sanitaire le permettra !

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  • Pays basque : quand les chefs étoilés (re)découvrent le travail des abeilles

    Une dizaine de chefs étoilés a été sensibilisée au processus de fabrication du miel à Bassussarry. Une visite de ruches organisée par Abeilles et Cie, qui devrait "changer leur façon de travailler ce produit".

    Ils portent une combinaison blanche, des gants soigneusement remontés, un chapeau avec un voile. Pourtant, ces hommes qui déambulent autour des ruches d'abeilles noires de Bassussarry ne sont pas des apiculteurs, mais… des chefs étoilés.

    Parrainer des ruches
    Tous ont répondu à l'invitation de la société Abeilles et Compagnie, installée depuis trois ans dans la commune du Pays basque. La société, qui lutte contre le déclin des abeilles, propose aux particuliers et aux entreprises de parrainer des ruches. Les parrains reçoivent en échange de leur participation des pots de miel, des photos de leurs ruches et peuvent visiter les lieux.

    "Notre mission philosophique c'est vraiment de développer la connaissance de l'abeille, pour que les gens n'aient plus peur de ces insectes, qui sont très sympas, pas du tout agressifs et d'une extrême utilité", explique Lionel Charrut, dirigeant d'Abeilles et Cie.

    Un produit local, et de qualité
    En Aquitaine, quelque 120 parrains et marraines ont déjà répondu présent, dont une trentaine d'entreprises. Désormais, la société cible les restaurateurs, particulièrement sensibles à l'origine et la qualité des ingrédients qu'ils travaillent. "Les chefs peuvent vérifier d’où vient le miel, connaître sa traçabilité. Lorsqu'ils vont travailler ce produit dans leur cuisine ils auront en tête nos merveilleux paysages, nos ruches et même le bruit des abeilles", espère Lionel Charrut.

    ...

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    POUR LES GOURMANDS
    La recette de la tartine carotte, feta et miel de lavande d'Antonin Bonnet
    Temps de préparation : environ 50 minutes

    Ingrédients :
    Une botte de carottes
    Un pot de miel de lavande
    Un pain de seigle aux graines
    Un bloc de feta
    Graines de courge et tournesol
    Vinaigre de cidre, sel, poivre

    Préparation :
    Brosser une botte de carottes, couper les fanes et les réserver. Laver les carottes et les assaisonner de sel et de beurre. Les mettre dans un plat au four à 160 ° C pendant 40 min.

    Prendre une poignée de graines de tournesol et de courges, les mettre dans un plat sans matière grasse et les mettre aussi au four pendant 10 min maximum.

    Couper des tranches de pain de seigle aux graines et les passer au grille-pain.

    Bien laver les fanes de carottes dans un grand volume d'eau et les essorer.

    Sortir les carottes du four et mettre un peu de fleur de sel et de poivre.

    Dans une casserole : mettre 100g de vinaigre de cidre et 50g de miel de lavande. Faire réduire à feu doux pour obtenir une consistance sirupeuse, sans faire un caramel. Le mélange doit napper la cuillère.

    Dressage :
    Mettre de la feta écrasée à la fourchette, disposer les carottes et napper avec la réduction de miel.

    Ajouter les graines toastées et les fanes en petites touches.

    © SORTIRAPARIS.COM
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