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Tout pour l'apiculture
Lettre d'information n° 57
Juin 2018
NOUVEAUTES
TEINTURE MÈRE DE PROPOLIS BIO
PROPOLIA

14,90 €
PROPOLIS PURE A MÂCHER BIO
PROPOLIA

14,90 €
GEL DOUCHE BIO MIEL ALOE VERA ET LAIT D'AMANDE
PROPOLIA

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COUVRE CADRE DADANT BAS 18MM 10 CADRES AVEC TROU CENTRAL ET BOUCHON

8,90 €
PRODUITS DE SAISON
PACK DE 12 POTS VERRE 212ml PLUS AVEC CAPSULES TO58 A JUPE HAUTE CUIVRE

6,20 €
BATI FAVUS DADANT CORPS
PACK DE 10
(existe pour la hausse)

85,50 € le pack de 10
MOUSSE DE TRANSHUMANCE APIFOAM

1,10 €
SEAU PLASTIQUE 5KG DÉCOR MIEL

2 €
SIROP DE NOURRISSEMENT BUTIFORCE
15KG

22,50 €
MATURATEUR PLASTIQUE ALIMENTAIRE 40KG

20,10 €
API NEWS
Notre nouveau catalogue 2018/2019 est sorti !
Vous pouvez le télécharger en cliquant sur l'image ci-dessous.
Certains d'entre vous l'ont déjà reçu chez eux ou vont bientôt le recevoir.
Vous pouvez également le retirer dans l'un de nos 3 magasins ou chez nos revendeurs.
AGENDA

Rendez-vous d'ores et déjà pour la 9e édition des APIdays® !

En France, en Outre-mer et à Monaco, plus de 120 lieux fêteront les APIdays® autour d’apiculteurs passionnés.

Vendredi 15 et samedi 16 juin 2018 (dès le jeudi 14 en région Ile-de-France)
Les Apidays® proposent, du 14 au 16 Juin 2018, durant 3 jours, dans plus de 120 sites partenaires, de nombreuses animations, ateliers pédagogiques et ludiques, expositions et projections gratuites. Cette 9ème édition mettra l’abeille au centre de nos assiettes !

Des hommes et des femmes passionnés par l’apiculture font partager leur amour et leur connaissance de l’univers fascinant des abeilles. Plusieurs dizaines de milliers de personnes (enfants et adultes, salariés du privé ou du public,...) participeront à cette grande fête de l’abeille devenue en quelques années un rendez-vous national incontournable

La thématique de cette nouvelle édition des APIdays® 2018 :
« Sans abeilles, notre assiette aurait moins de saveurs ! »

Liste des événements en cliquant ici

MORTALITÉS D’ABEILLES : JOURNÉE NATIONALE DE MOBILISATION LE 7 JUIN

En sortie d’hiver, dans de nombreuses régions, les apiculteurs ont fait le constat de mortalités catastrophiques dans leur cheptel.

Depuis lors, interrogé par des parlementaires, le Ministre de l’Agriculture refuse de reconnaitre la gravité de la situation et la détresse de nos collègues apiculteurs. Il indique que « le dispositif de surveillance ne permet pas, à cette heure, de corroborer une généralisation de la dégradation de l’état sanitaire des colonies d’abeilles ». Et pour cause : le dispositif en place depuis plus de 20 ans est passé à côté des principaux phénomènes de mortalités massives groupées de colonies.

Face à cela, l’Union Nationale de l’Apiculture Française et la Fédération Française des Apiculteurs Professionnels appellent à une journée de mobilisation nationale le jeudi 7 juin pour demander à l’Etat et au Président de la République en particulier :
- de déclencher de toute urgence un plan de soutien exceptionnel aux apiculteurs français ;
- de restaurer un environnement viable pour les colonies d’abeilles et les pollinisateurs.

Le 7 juin, nous appelons tous les apiculteurs et toutes les apicultrices des Régions touchées à se rassembler devant les préfectures de leurs départements pour faire entendre ces demandes.

L’UNAF et la FFAP appellent tous les syndicats apicoles et toutes les ONG environnementales à s’associer à cette mobilisation.


LES TRAVAUX DU MOIS
Ce mois de juin représente la fin du Printemps et le début de l’été. Quelles sont les activités à effectuer au rucher ?

- Effectuer les transhumances, pour obtenir des miels spécifiques
- Effectuer une récolte partielle, pour le miel de Printemps par exemple. Il est important de surveiller le remplissage des hausses toutes les semaines, éventuellement en soupesant la ruche, pour éviter d'ouvrir les ruches de manière intempestive. Si besoin, n’hésitez pas à rajouter une deuxième hausse.
- Dans sa miellerie, bien faire le tri des divers miels, les stocker dans de bonnes conditions d’hygiène et de conservation.
- Au rucher, nettoyer toute trace de miel pour éviter le risque de pillage. Près des ruches, les entrées seront dégagées des hautes herbes qui pourraient gêner le vol des butineuses chargées.
- Continuer à amplifier l'élevage des reines : Juin est le mois le plus favorable. Constituer des nucléï de conservation pour avoir de jeunes reines de remplacement à la prochaine saison.
- Produire un peu de pollen
- Stimuler l’activité des essaims capturés récemment en leur nourrissant au sirop. Certains apiculteurs éliminent la reine (qui est la vieille reine) une quinzaine de jours après la capture de l'essaim. Les abeilles entreprendront ainsi un élevage royal.

Rappel aux débutants :
Une intervention au rucher se fait par temps ensoleillé, une température supérieure à 15°C, pas de vent et en milieu d’après-midi.
REVUE DE PRESSE...
VIDEO. Glyphosate : "Le lobby de la malbouffe et de la souffrance animale a dicté la loi", dénonce Yannick Jadot

Le député européen écologiste Yannick Jadot a qualifié de "terrible gâchis", mardi sur France Inter, le refus cette nuit de l'Assemblée nationale d'inscrire dans la loi l'interdiction du glyphosate d'ici trois ans.

France Info 29/05/18
Un "terrible gâchis" : voilà comment le député européen écologiste Yannick Jadot a qualifié le refus, dans la nuit du lundi 28 au mardi 29 mai, de l'Assemblée nationale d'inscrire dans la loi l'interdiction du glyphosate d'ici trois ans. Invité de France Inter mardi 29 mai, il a accusé le ministre de l'Agriculture, Stéphane Travert, de "négationnisme écologique" et de plier "en permanence" depuis sa prise de fonction face au lobby agro-industriel. Un lobby "qui a dicté la loi et qui a gagné contre la société, contre la santé, contre l'environnement et contre tous les paysans", a également jugé Yannick Jadot.

France Inter : L'interdiction du glyphosate d'ici trois ans n'a pas été inscrite dans la loi, cette nuit à l'Assemblée. C'est un revers, selon vous ?

Yannick Jadot : C'est un terrible gâchis. Nicolas Hulot a proposé au président de la République de faire ces états généraux de l'agriculture et de l'alimentation qui devaient se traduire dans une loi. L'idée c'était de réconcilier l'agriculture avec la société, avec la santé, avec la gastronomie, avec des paysans qui vivent correctement de leurs métiers, nombreux, dans les campagnes. (...) Et là ce qu'on constate, c'est que c'est le lobby de la malbouffe, le lobby de la souffrance animale, le lobby de l'industrie concentrationnaire qui a dicté la loi, et qui a gagné contre la société, contre la santé, contre l'environnement et contre tous les paysans.

Sur le glyphosate, le ministre de l'Agriculture indique que la position du gouvernement est d'en sortir d'ici 2021 si et seulement s'il y a des alternatives. Cette position n'est-elle pas claire ?

La position du gouvernement est très claire : c'est qu'on ne va rien faire ! La position du ministre de l'Agriculture depuis qu'il a été nommé, c'est de ne rien faire contre l'agrochimie, de ne rien faire contre le pire de l'agriculture. Quand il est arrivé, sa première déclaration c'était de dire qu'il était contre l'interdiction des néonicotinoïdes tueurs d'abeilles. Aujourd'hui, les abeilles sont massacrées, décimées ! Qu'est-ce qu'il y a dans cette loi ? C'est qu'on confie la transition agricole, la sortie des pesticides, à la direction de la FNSEA, on les donne à Monsanto, on les donne au pire de l'agriculture.

Vous accusez le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert d'avoir plié face aux lobbys, mais sur quels éléments vous fondez-vous ?

Mais il est le lobby ! Quand un ministre de l'Agriculture défend en permanence les lobbys contre l'opinion publique, contre la science... C'est quand même un ministre qui a été devant l'Assemblée nationale pour dire qu'il n'y avait pas de problème avec les abeilles ! Ça s'appelle du déni de réalité, ça pourrait s'appeler du négationnisme écologique ! Les apiculteurs sont aujourd'hui totalement abandonnés par leur ministre de tutelle, par le ministre de l'Ecologie qui défend la biodiversité et par Emmanuel Macron qui décide de tout. C'est terrible ! Au moment où tout le monde sonne le tocsin sur la biodiversité, le gouvernement sonne le glas de la biodiversité.

Quelle est l'échelle de valeur de ce qui se passe en ce moment, selon vous ?

L'échelle de valeur, pour moi, c'est le patron du Muséum national d'Histoire naturelle qui a parlé "d'anéantissement biologique". Le drame que vit notre biodiversité, c'est un anéantissement biologique. 80% des insectes ont disparu en 30 ans, c'est un drame pour l'ensemble du cycle de la vie. Le ministre de l'Agriculture, constatant les orages et la destruction de vignobles, va soutenir ces viticulteurs, et c'est normal. Mais pourquoi abandonne-t-il les apiculteurs ? Sur les abeilles, c'est très clair ! Pourquoi le ministre de l'Agriculture ne veut pas intervenir ? Parce que la mortalité excessive et dramatique des abeilles est liée aux pesticides, et comme il ne veut pas revenir sur les pesticides, il nie cette réalité. L'abeille c'est le symbole de la biodiversité, les laisser mourir et laisser mourir nos apiculteurs, c'est une responsabilité majeure de ce gouvernement.


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Miel: les pays d'origine devront être mentionnés sur le pot en 2019

BFM BUSINESS
30/05/2018
Les producteurs de miel devront indiquer l'ensemble des pays d'origine d'un produit issu d'un mélange de miels à partir du 1er septembre 2019 selon un amendement du gouvernement voté mardi soir au projet de loi agriculture et alimentation.

Aujourd'hui, le droit permet aux producteurs de miel originaire de plusieurs États, membres ou non de l'Union européenne, d'étiqueter leur produit de façon assez vague.

Période transitoire jusqu'au 1er septembre 2019
Si le miel est originaire de plus d'un État membre de l'Union européenne ou de plus d'un pays tiers, l'indication de l'origine peut se limiter aux termes: "mélange de miels originaires de l'UE", "mélange de miels non originaires de l'UE" ou encore "mélange de miels originaires et non originaires de l'UE".

Le projet de loi oblige donc les producteurs à étiqueter l'ensemble des pays d'origine mais l'amendement du gouvernement définit une période transitoire jusqu'au 1er septembre 2019 pour permettre l'adaptation des entreprises à ces nouvelles obligations.

Les denrées alimentaires préemballées, légalement fabriquées ou commercialisées avant cette date, dont l'étiquetage n'est pas conforme à ses dispositions, peuvent être mises en vente, vendues ou distribuées à titre gratuit jusqu'à épuisement des stocks.

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Les députés refusent d'inscrire dans la loi la sortie du glyphosate

FRANCE INFO
29/05/2018
L'Assemblée nationale a refusé dans la nuit de lundi à mardi des amendements, y compris de la majorité, visant à inscrire dans la loi la sortie du glyphosate.

C'est l'herbicide le plus utilisé en France, et il est jugé cancérogène par l'Organisation mondiale de la santé. L'Assemblée nationale a rejeté dans la nuit du lundi 28 au mardi 29 mai des amendements, y compris LREM, qui visaient à graver dans la loi agriculture et alimentation la sortie du glyphosate en 2021.

Après la décision de l'Union européenne en novembre de renouveler la licence de cet herbicide controversé pour cinq ans, Emmanuel Macron avait promis que la substance, principe actif du Roundup de Monsanto, serait interdite en France "dès que des alternatives auront été trouvées, et au plus tard dans trois ans".

"L'inscrire dans la loi, c'est relancer les tensions"
Le chef de l'Etat "a fixé un objectif ambitieux et pragmatique" et "nous mettons toutes les chances de notre côté" en poursuivant notamment les recherches sur les alternatives, a déclaré le ministre de l'Agriculture, Stéphane Travert, dans l'hémicycle.

"L'inscrire dans la loi, c'est relancer des tensions", a renchéri le rapporteur Jean-Baptiste Moreau (LREM), lui-même agriculteur. "A ce stade, soyons en confiance" avec les agriculteurs, a aussi plaidé le chef de file LREM Richard Ferrand, menaçant de légiférer en cas de "mauvaise volonté".

Des amendements massivement rejetés
Des amendements, notamment de la commission du développement durable de l'Assemblée et de l'ex-ministre PS Delphine Batho, qui posaient un terme au 1er juillet 2021, ont été massivement rejetés.

Un amendement prévoyant l'échéance du 1er mai 2021, avec des dérogations possibles jusqu'en 2023, a été également repoussé par 63 voix contre 20. Il était porté par Matthieu Orphelin (LREM), proche de Nicolas Hulot, et cosigné par une cinquantaine de membres du groupe majoritaire.

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Bordeaux: Une miellerie collective pour prouver que « c'est possible de fabriquer du miel en ville »

20 MINUTES
14/05/2018
ENVIRONNEMENT Une miellerie collective est inaugurée ce mardi à Eysines, près de Bordeaux, pour soutenir les apiculteurs amateurs en milieu urbain

- Initiée par Bordeaux Métropole, la structure est gérée par une association.
- Elle propose un local et les outils adéquats pour venir extraire le miel de sa ruche.
- L’association espère susciter des vocations.

C’est une première sur la métropole de Bordeaux. Ce mardi sera inaugurée la première miellerie collective de l'agglomération. Basée à Eysines, la structure ambitionne de devenir un outil de développement pour les apiculteurs amateurs en milieu urbain.

Initié par Bordeaux Métropole, et notamment son vice-président à la nature Clément Rossignol, le projet a été confié à une association, « La miellerie collective de Bordeaux Métropole », composée d’une dizaine de personnes. « Le projet est né en 2014, et l’association est née en 2015 », rappelle le président de La miellerie collective, Claude Bodin. Un local appartenant à la métropole, situé dans les garages de l’ancienne gare d’Eysines, a ensuite été mis à disposition de la structure.

« Pas forcément rentable d’investir dans un extracteur »
Le but de cette miellerie est de permettre à des apiculteurs amateurs de venir extraire leur miel dans ce local, qui est équipé de tous les outils nécessaires, en apportant leurs cadres de cire. « Ce n’est pas forcément rentable pour un apiculteur qui possède moins de dix ruches, d’investir dans un extracteur », explique encore Claude Bodin.

La miellerie espère aussi susciter les vocations, en prouvant que « c’est possible de fabriquer du miel en milieu urbain, et que l’on peut obtenir des récoltes tout à fait intéressantes. » Elle compte à ce jour une trentaine d’adhérents, mais espère que l’inauguration du site va attirer de nouveaux membres. « A plus long terme, nous aimerions aller plus loin, pourquoi pas s’ouvrir à l’animation et à de la formation. »

« Outil de sensibilisation à la biodiversité »
En revanche, ce n’est pas parce que les ruches se situent en ville, qu’elles sont pour autant à l’abri des épisodes de mortalité qui touchent les abeilles ces derniers temps. « Entre les pesticides, la pollution urbaine, le frelon asiatique… Il existe aujourd’hui un cocktail d’éléments qui expliquent la forte mortalité des abeilles depuis deux ans. Surtout lorsqu’on connaît, comme cette année, des hivers traînent en longueur. »

Cette initiative, qui se veut également comme « un outil de sensibilisation à la biodiversité », a été retenue dans le cadre de l’appel à projet « Territoire à énergie positive pour la croissance verte » organisé par la Dreal (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement), et a été financée par l’Etat à hauteur de 65.600 euros, la ville d’Eysines (26.800 euros) et Bordeaux Métropole (26.800 euros).

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Laurent est l'un des derniers ciriers-gaufreurs : il travaille pour les ruches et les abeilles

FRANCE 3 GRAND EST
04/05/2018
e métier est rare ; seule une vingtaine de personnes le pratiquent en France. Laurent Fichter, un Kingersheimois, est un cirier-gaufreur. Son métier consiste à fabriquer des plaques à partir de la cire d’abeille que lui remettent des apiculteurs. Ces plaques de cire sont gaufrées – c’est-à-dire qui sont percées d’alvéoles hexagonales – et permettent aux abeilles d’avoir une meilleure base pour aménager leurs ruches.

Un métier important, crucial même, à l’heure où nos amies les abeilles sont clairement menacées. Chez les Fichter, au nord de Mulhouse, on l’a bien compris, Laurent représente la quatrième génération de la famille à exercer le métier. Un mot d’ordre : "travailler avec la nature".


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POUR LES GOURMANDS
Petites quiches aux carottes, chèvre et miel
La saison des piques-niques est ouverte, alors profitons en. Assaisonnées de quelques épices du soleil comme le curry et le cumin, et un peu de thym pour le côté garrigue. On les déguste chaudes ou froides.

pour 8 quiches :
- une pâte brisée
- 24 petites carottes fines
- 1 demi cc de curry
- 1 demi cc de cumin
- quelques branches de thym frais
- 2 cs de miel
- sel et poivre du moulin
- 1 fromage frais de chèvre type Petit Billy (soit environ 300g)
- 4 oeufs

Dans le bol de votre robot, mélangez tous les ingrédients de la pâte brisée jusqu'à formation d'une boule de pâte.
Filmez et réservez au frais pendant 1h.
(Sinon, vous pouvez utiliser une pâte brisée toute prête)

Mélangez le fromage avec le miel, le curry, le cumin, le thym frais.
Ajoutez les oeufs, le sel et le poivre.

Préchauffez le four à 180°c.
Farinez le plan de travail et étalez votre pâte.
Abaissez-la dans un moule de 26cm de diamètre, beurré et fariné.
Versez l'appareil dans chaque moule, ajoutez 3 petites carottes / moules et enfournez pour 30/35 min de cuisson.
Laissez tiédir un peu avant de déguster.

Source : http://www.petitbecgourmand.com/2017/04/petites-quiches-aux-carottes-chevre-et.html

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